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4 décembre 2015 5 04 /12 /décembre /2015 12:19

Et personne pour répondre à ma question …

- C’est quoi le temps ! !

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Ah Ah Ah … Un milliards de niveaux … Une certaine ‘Persévérance’, Une … Inscription …

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Pfouf ! Ça file ! Derrière l’angoisse du vide il y a l’angoisse du plein qui n’a pas encore trouvé sa forme …

Le ‘Haïku’ c’est ‘moi’ aussi … dommage que si peu savent l’utiliser … L’Art du ‘contextuel’ et de la ‘saisie’ …

Raptus.

Humm … Quelle drôle d’évolution … Les décors sentent de plus en plus le ‘carton pâte’ et la mauvaise ‘Adaptation’ … Quant aux ‘acteurs’ … Eux ne déméritent pas !

- Juste une question les enfants ; Vous attendiez vous à autre chose ? …

Vous me direz … « Non, on s’attendait à rien » … A part à trouver du vide dans l’espace …

Eh ben justement … En voilà une ‘Magnifique’ forme ! Une forme parmi d’innombrables ( mais cependant limitées) autres.

Juste de quoi affecter encore un peu … C’est qui faut la faire tourner la ‘machine’ .

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- Ah … J’aimerais écrire ce qui est mais … Kundera, Zinoviev et Baudrillard l’ont déjà écrit …

Nique ta mère.

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Comme disait mon ami et regretté Pierre Dac « Tout est dans tout et réciproquement »

Encore un Haïku à lecture subtile !

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- - - Cette année 2015 les « Professeurs des écoles » (anciennement instituteurs … mais il est bien connu que plus on ‘perd’ et plus on revendique …) vont bannir le petit Jésus de la crèche ! Ah Ah Ah Ouh Ouh Whoua Whoua !

Ça y est ! On ‘vire’ le squatter ! Eh ben … 2000 ans pour ARRIVER à ça ! … Y vous en a fallu du temps ! Merde … Hi hi hi … Coucou !

C’est vrai que le « Diable » n’est jamais mieux en lumière que dans les ‘détails’ ! …

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Non j’passais par là … J’me disais … Tiens ‘mon’ blog il est toujours là ! …

Oh … Mais même ‘Moi’ y vont finir par m’avoir ! J’ai vu l’époque de … (Comment vous dites déjà ? Bref … Lire Semprun et l’indicible … Etc blabla ) … La connerie à cette époque était moins ‘subtile’ moins ‘Diffuse’, plus ‘Brute’ … Plus d’un ‘Bloc’ vous voyez … Passons … Mais là ! … Ouh La … Mon ‘Dieu’ ! On s’achemine vers du lourd ! ! On a le pied sur l’embrayage !

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Très honnêtement, du haut de mes quelques ‘décennies’ … Je ne voyais pas ‘ça’ exactement comme …’ça’ … Je ne pensais que la connerie pouvait présenter de telles petits rouages de mécaniques si subtiles !

Ouh ! Minutieux ! Je suis aller chercher la loupe d’horloger de mon grand père … pour en observer tous les petits composants dès fois que je rate un élément …

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Les instituteurs ont toujours été très cons … Pas du tout prêts pour aller à l’école ! …

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Je crois qu’il y a effectivement chez ‘vous’ une pulsion de ‘mort’ pas sous-jacente du tout et juste ‘inconsciente’ c’qui faut pour ne pas s’exprimer à la lumière de la doxa ! ( Je mets de côté tous les suicidés … Ça compte pas c’est tricher ! Au passage … Observe, c’est là … c’est ‘là’, que l’on trouve cette forme, mais ça vient de loin ! ça vient du blues ; Que les suicidés sont ‘un peu’ les intermittents du spectacle ! … etc etc … A la ligne … deux points suspendez les guillemets, je vous laisse développer ) Bon tu commences à appréhender le ‘fond’ où c’est toujours le néant gnan gnan ? As tu un peu au moins saisi l’articulation, le ‘déclic’ ? L’infime rotation dans la mécanique ? Un dixième suffira ! Je suis là dans l’antique forêt, sur les pas du souffle de l’enfant … Je marche

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Non ! Franchement … Je suis ‘Éberlué(e) par tant d’Esthétisme inconscient ! mais quel tableau ! Là d’où je suis ça ‘envoie’ ! ( Comme quoi la perspective …)

Un peu d’histoire ? … ( 50 pages ça vous irait … 300 ? … Pour quoi faire ? …) On a pas vu ‘’’arriver’’ les camps de concentration au loin … Mais là …

A la ligne et j’abrège …

Tacite … La vie d’Agricola … vous l’avez lu ? … Ah Ah Ah … Grosse rigolade !

Aïe Li…….. Aïe Lo !

Aïe La La …

Les haïkus ça m’permet de gagner du temps par rapport à …

Les Hutus et les Tutsis ! … J’y tiens oui ! … Malaparte ! Curzio Malaparte …

Il y a tellement longtemps de cela …

Là non plus ‘on’ voit rien … Pas plus loin que le bout du Mac Do … Et au fond … N’est-ce pas ‘ici’ précisément qu’il faut apporter un « tempérament » ? …

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Dieu et le Père Noël n’existe que pour les ‘innocents’ … Ceux qui pleurent dans la nuit devenue leur seule amie.

La lumière des étoiles mortes …

Les autres tous les autres peuvent crever … Quelque soit leurs motifs ou idéologie ; Croyant ou athées ; Le repère est le même sur l’OrthoNormé.

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Alors non seulement faire des gosses ne vous suffit pas pour ‘bannir’ cette volonté inconsciente de vous délivrer d’un poids dont vous ne savez que faire … ( à part de la mauvaise littérature …)

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Aut libri aut libéri …

Merci !

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Mais de surcroît, vous appelez en plus toute autre ‘forme’ quand elle se présente ! C’est à ce point là ?

Oui je sais … personne ne comprends mais c’est ‘’’’normal’’’’ C’est Ma perspective ! Je la délaierais plus tard dans autre chose … Pour l’instant je la ‘consigne’ ici … A titre de coucou.

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- Donc …………. Coucou !

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Ah la pulsion de mort c’est pas d’la merde hein ! … ‘Hallucinant’ toutes ces formes !

N’est ce pas ce que vous vouliez ? … La ‘relativité … Générale’ !

Eh Eh Eh ce mot est apparu dans les années 80 … « C’est relatif » … Le début du néant …

​- C’est relatif …

Ça veut rien dire mais on s’en fout c’est justement c’que ça veut dire … La maîtrise du … ‘néant’ !

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Bravo c’est ‘impressionnant’ !

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Mais pourquoi tenez vous à ce point là à crever ?

Sans vous l’avouer ? Un peu à la Becket quelque part … Se décomposer sur ‘place’ sans en avoir l’air … ‘Existentiellement’ … En convoquant la ‘Pensée magique’ … et la chirurgie esthétique …

Quelle lâcheté ! Absconse et obscure … Mais tout de même ! Là c’est zéro standing ! On a touché le fond on plafonne !

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Et toutes les victimes ? Vous y pensez ?

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Voilà qui donne un tout autre relief à toutes les conneries d’analyses que j’entends au quotidien … Comment est-ce possible à ce point ? Vous qui avez érigé l’acte manqué lui même en Totem magique !

Le Totem est devenu ‘autonome’ ? comme le Golem de l’époque … (Eh oh ! C’est ma faute à moi si vous avez des inconscients à trois balles ? !) C’est pas difficile les fonds ‘primitifs’ … Tout est dans tout …

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Donc cette année … Pas de petit Jésus dans la crèche pour cause de Laïcité !

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Well well well … Je vois …

- Asseyez vous je vous prie …

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Depuis les temps immémoriaux où que je le dis … ! Dieu et Satan ne sont qu’une seule et même personne !

Un peu comme la matière et l’anti Matière … Le ‘temps’ et … L’espace … La substance et la qualité … Le brin d’herbe et la tombe …

Laissez tomber les nuls. Continuez à tourner autour du Totem !

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Mais alors c’est quoi la nature de cette ‘division’ au sein de ce qui est ?

Ah Ah Ah … Oh Oh Oh … Ouh … Miséricorde !

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- Il paraît qu’ils écoutent du Bach lorsque ‘je’ ne suis pas là … Mais moi aussi je fais de même !

Chacun la politesse de l’autre.

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………. Ne pas lire ce qui suit si vous voulez conservez vos illusions …

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P.S : Il va sans dire que la pulsion de mort … Le désir d’autodestruction n’est qu’un artifice ‘fictionnel’ pour développement narratif ! … Ben ouais quoi ! faut pas rêver non plus … ça donne et permet un ptit développement ou plutôt un prolongement intéressant en terme … Fictionnel … Un truc pour installer du narratif ! Pour développer des réalités ‘connexes’ … Mais à la fin il faut toujours conclure le propos par ce qui est …

Parce qu’en réalité et … Hélas ‘on’ s’aperçoit que c’est juste que vous êtes des cons c’est tout.

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Aucune ‘Grandeur’ artificielle ne vous sauvera ! Aucun échafaudage si haut érigé soit il ne fera illusion ! Aucun drapé !

Rien,

Rien qui puisse ‘accrocher’ un semblant de Dignité !

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( Et tu sais que J’adôoooooooore ce Mot ! - Dignité - )

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28 mars 2015 6 28 /03 /mars /2015 09:24

 

 

Au fait, récemment j’ai entendu au Cambodge ce magnifique Adage qui devrait te plaire, sur la ‘fameuse’ condition FEMININE … « Une femme divorcée n’est qu’une moitié de femme » … C’est chantmé non ? Je suppose que quelqu’un comme toi est d’accord, d’accord pour admettre les codes de FEMINITE des autres pays … (T’es pas raciste en plus ? !  )

 

 Comme c’est fascinant … La LIMITE Laurence ! La LIMITE ! L’arbre et le contrat.

Tien … Toi qui aimes la ‘théologie’ … As tu remarqué,  dans la Bible, que ‘Dieu’ qui est censé être omniscient demande à Adam où il est ?  

 

 ( « L’Etat quel qu’il soit est le fonctionnaire de la société »  Aucun rapport cherche pas … C’est pour autre chose … plus tard … Ailleurs …)

 

Oui, même si c’est pas une théorie mais d’avantage une tentative de Décloisonnement …

Une tentative de décloisonnement Anti-Connerie … c’est toujours bon à prendre ! … En fait un excellent contre pouvoir, avec aucune possibilité de récup institutionnelle, de ‘dilution’ dans  les organes de représentations, …  Sais tu que ‘Dieu’ représente symboliquement le père putatif ? Oui … Ça tu le sais … C’est pourquoi cette ‘filiation’ là, cette seule et vraie émancipation a toujours été combattue par tout pouvoir institué, religion en tête de ‘gondole’ … Ah cette fameuse schizophrénie .

 

 

C’est très bien cette ‘’’’théorie’’’’ du genre … ça décante’ un peu … Ça  permet une vision plus Ample.  Un peu moins engoncée à l’entournure de la Burqa  qui fait la ‘’’féminité’’ du là bas dis ! … Cette féminité, virtuelle,  Idéologique et (tout de même ne l’oublions pas chers et chères débiles … ) Marchande ! par ricochet certes, mais bon ça nourrit quand même son fond de commerce (Les dealers du misérabilisme) … 

 

Moi je suis pour tous les contres poids à la connerie et à la salafisterie.

Même si je ne suis pas pour le mariage des homos … pas plus que pour la p.m.a … (toute obédiences confondues …) Cette facilité à vouloir sans limite, ni retenue, accéder à la belle et grande vitrine du bazar tout marchand  … La Mondialisation c’est quand même  la colonisation  à l’échelle de la supérette. ( C’est à dire à l’échelle des manges merdes … )

 

Cette théorie ainsi aboutie, est très intéressante … elle coïncide  assez bien et pour la première fois avec ce qu’elle représente … Quelque chose qui ne peut être ‘catégorisé’, ramené à l’ échelle d’un calcul positiviste dont la seule finalité est l’exploitation marchande …   Ben oui … L’essence précède l’existence …  Eh oui … Un fossé ma choute !

Kant ? Ouiiiiiii …… Mais les draps sont trop ptiiiiiiiits.

 

 

La théorie du genre ? Eh ben choupette voilà !  C’est là que réside l’Identité … non pas chez mon pote Lacan, et sa forclusion, la rame avec l’héritage et le nom du père … ce petit pervers de Freud et sa ‘mater’ … Non, tout ça n’est destiné qu’à faire tourner le bazar du misérabilisme …

 

Eh fait la théorie du genre c’est une lorgnette un peu moins étriquée sur la vie non ?  Ce fameux droit à l’Identité … L’essence précède l’existence, et pas uniquement depuis la flambée du baril de pétrole.  C’est la commission qui fait l’infraction mais c’est l’intention qui emporte la qualification … ( Un indice pour faire progresser le ‘stalking’ … Ah … Quelle marrade …)  Tu sais fo pas rêver ma choute … Le conseil constitutionnel de l’entre soi des blaireaux à pompes en croco en a rien à foutre des femmes qui sont physiquement agressées … Alors … Un concept aussi ‘évanescent’ que le ‘stalking’ … Et pis n’oublie pas que la France est un pays de ‘privilèges’ … « Nul ne plaide par procureur » … La ‘Loi’ s’arrête à la porte du politique … Alors que le ‘procureur’ n’est qu’une tête de con d’agent public … moins qu’un ‘facteur’, un simple ‘exécutant’ … Il se permet de ‘Détourner’ le droit … Il y a lurette que le pénal ne tient plus le civil en l’état mais … Mais il y a encore à décanter en matière d’action publique … Si les gens étaient pas aussi cons …

 

 

J’ai entendue une conasse à la télé, chercheuse au CNRS, dire ce qui pourrait en premier lieu paraître très pertinent … « Le satellite qui s’est posé sur la comète censé remonter à l’origine de la ‘’Vie’’  (…) va enfin pouvoir  démontrer que Dieu n’existe pas. »

Chouette ! Comme ça il ne restera plus que la religion !  Autant dire des chiottes sans fosse sceptique.   Ça va refouler encore plus dégueu.  

oui …

‘Dieu’ n’en fini plus d’être ‘évacué’, vidangé … Siphonné ?  …  Tu vois la gueule de ce qui va rester à la surface …  Des Totems et des tabous. De la science et de la religion … En fait ma chérie, l’Islam, cette religion de la caverne,  a enfin  trouvé sa modernité et son époque ! Une religion vide et inculte de ‘dieu’. 

 

 

Que Dieu existe ou qu’il n’existe pas ne fait aucune différence ; cela est la condition première du postulat de son existence, tel que l’on peut y ‘accéder’ ;   Il y a un principe qui ne supporte pas la preuve, c’est la vie. La nature ne veut pas être expliquée. ( La part de l’Autre c’est ?)

 

Rien à voir avec le dieu des manges merdes, un dieu vacataire, un dieu poubelle ou vide ordure, décharge nécessaire du quotidien reliée aux chiottes via le vide …Salutaire.

 

 Sinon y reste le positivisme à l’échelle de la supérette qui deale de la merde en caddie, l’avènement de cette nouvelle société avec ses hiérarchies recomposées et occultes, permises grâce au ‘décalage’ progressif de ce qu’on nommait autrefois ‘Moralité’ … Explosée, ventilée, dans des sous –‘éthiques’(ettes)  collées sur d’innombrables appellations qui ne sont ma chérie, que des dilutions de degrés vers la  ‘marchandisation’, destinées à ‘amortir’ la disparition dans l’oubli et l’incompréhension …

( Euh … Dis donc c’est ptêt moi qui devrait écrire ? … ) 

 

 

Décidément la territorialité c’est là qu’est tout le problème… Deleuze ! Toujours …

 

 

 

L’identité ma chérie ce n’est pas le corps c’est l’Esprit !  

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24 mars 2015 2 24 /03 /mars /2015 12:28

 

 

 

Le temps passe maintenant comme un claquement. A croire que j’ai foutu les pieds dans un ascenseur quantique, bien que le temps n’existe pas … T’as vu ce qui fait fureur en ce moment … La matière noire … Retour aux archaïsmes. 

 

Pas vrai ? Le ‘soulagement’ d’exister ?  … Il existe exactement quatre acceptions à ce ‘Soulagement d’exister’ ( Qui inclut la ‘subjectivité’ … La part de l’Autre …  L’issu de secours) 

 

Ton ‘être’  prend ? Les racines poussent ? … Que sont devenues ces ‘racines’ à présent ? … Déquantification.

 

 

  Je mesure le temps … ici et là …  Je me dis, « Tien  » Qu’est devenu untel, truc, machin, ou en est son empreinte carbone, ses points retraites et ses demies parts fiscales.  C’est fascinant cette inscription dans … La quantification.

Un miroir ; Un peigne ; Une photo.

 

 

 Alors ? La maternité ça progresse ? C’est comment ? Intéressant ?  C’est différent d’avec la conduite automobile ?  Oui … Les options ne sont pas les mêmes …

 

Fascinante cette perpétuelle ‘accélération’ non ?  Prochain bouquin … L’immédiateté et le père putatif …

Ou alors un roman policier …

 

L ‘Ecriture procède d’une règle. Une règle qui est immuable, inflexible, inébranlable et qui retrouve toujours le centre de son mouvement. On peut la trouver, la retrouver, la mobiliser à chaque instant. La self écriture quant à elle est  une paillasse où l’on essuie ses prétentions et ses vacances,  un ‘objet’ conforme aux normes de cette époque de cons … Un ‘objet’ ma chérie, où l’on épanche, essuie, vide et récure …

 

 « A mon fils » ?  A mes enfants A ma fille … »  ( A ma machine à laver …  Au filtre de mon Aspirateur sans qui je ne serais que poussière …) 

 

Hystérique !

 Définition ?

 

« Qui en fait trop avec pas assez »

 

 

  

Bon vous en êtes où de la maternité ?  1ère âge ? 2ème âge ? 3ème âge ? 4ème âge ? … Non c’est pas que j’tape un flip sur le chiard ou le rapport filial (Qui est aussi incongru que la notion de temps …) Mais c’est la perspective … Tu sais,  la vision d’ensemble … Je pense que le désir  d’enfant est effectivement et totalement inconscient comme de prendre sa bagnole en étant beurré  … Sinon on ne le ferait pas non ? 

 

Je ne connais pas d’acte plus égoïste que de chiader du gosse … Nous en avons vu la signification … Masquer ; Meubler ; Tromper le désir de crever … Cette ‘Lâcheté’ à perpétuité … C’est ? …  Le fameux ‘Soulagement d’exister’ …

 

- Observez Laurence, ici une ‘bascule’ fondamentale de l’écriture ; L’Ecriture comme la poésie  se doit de rester sur le seuil du pallier, il ne faut pas la pousser  … C’est lié à l’Inachevé … Si vous allez au delà vous obtiendrez ‘autre chose’. C’est la ‘possibilité’ d’entrer qui voit la réalité.

Une ‘photo’ se nourrit de toutes celles que l’on ne prend pas … elle ‘capte’ ce qui est et aussi ce qui n’est pas … C’est cela l’équilibre …

 

 Etourdir de toute les façons possibles et par cette ‘ultime’ acte de mort,  probablement le plus lâche de tous les suicides à distance … Pire que de laisser crever le ptit black pour une paire de Nike ! … Se ‘venger’ de sa ‘propre’ venue au monde … Par ‘procuration’ sous ‘x’ ! Evacuer par vacuité …

Ce n’est pas moi Laurence ;  Je ne fais que traduire ce qui n’est pas. 

 

 Les enfants ne sont pas autre chose que des marques pages dans les albums d’un temps où l’on a pas trouvé à meubler avec originalité … Des ‘objets’ …

Ce qui a toujours été, certes … Mais la ‘destination’ est de plus en plus ‘grotesque’ … Tu ne trouves pas ?  

 

Tu te rappelles ?  Le droit à l’avortement ? L’enfant  ‘bien public’ grâce au  concept de la FEMINITE, cet ‘extérieur’ propriétaire du fond de commerce … Toujours pas moi ! 

 

«  Femme de paille cherche  Djihadiste » … Pour G.P.A et plus si Aff’ … Il a évolué l’enfant c’est … Fascinant ?

 

Aujourd’hui à voir vos tronches je dirais qu’il en est au stade (‘sociétal’ bien sur) de … petit animal domestique … un ‘produit’ entre le pot de yaourt ( pour la consistance …) et le ‘n-a-c’ pour le besoin de distinction ‘grégaire’ …

 

  Récemment alors que je croyais avoir tout répertorié et inventorié j’ai entendu lors d’un anniversaire :  « Les enfants c’est bien, surtout à Noël … »  La flûte de champ m’en est tombée des mains …  Je ne pouvais plus arrêter de rigoler … Je voyais des ribambelles de gosses qu’on accrochait sur le sapin …

 

  C’est vrai très chère … Je suis partout comme au théâtre ; Et je te jure que des fois je suis à rien de ça de me lever et d’applaudir à tout rompre en hurlant des « Bis » ! !  Hourra ! Bravo ! ! 

 

Mais qu’est ce que j’y peux ! ! ? Vous êtes tellement cons et minables.  

Que … ? Que ? … Que des fois on a envie de mettre des bougies pour éclairer, comme dans un tableau de Vermeer … On touche à la ‘religiosité’ … Le contraste entre le ‘sacré’ et le ‘profane’. Bref.

 

Dommage qu’il y ai un tel gouffre entre l’esprit et la faculté, vous êtes comparable à des individus beurrés qui prennent leurs bagnoles … ou qui font des gosses. 

 

Franchement ? … Beurk !

 

Vous n’avez pas conscience du ‘temps’, de ce que l’on peut y faire et de comment l’on peut s’y inscrire …  L’exemple du ‘temps’ tel qu’il  vous est donné de le connaître devrait vous porter  à une toute autre recherche … ( Cher Proust, je te salue au passage …)

 

 

Et tu veux écrire ?  Je vois une incompatibilité mon enfant … Un truc épais et flou, qui colle comme de la mélasse … Je vois des rombières qui poussent leurs caddies et qui lisent comme elles bouffent.  Arômes artificiels, adjuvant, colorant, exhausteur de goût, top budget, glutamates, produit allégés et carcasses chlorées pour masquer l’odeur du dégueulasse … L’écriture Tupperware quoi. 

 

Alors ? Quel temps de la petite comédie de la vie ?

L’Ecriture retrouve toujours sa définition, malgré les tentatives de captation,  

 

 

 

Tu sais pourquoi la pondeuse fait des gosses ? Mis à part le fait qu’elle pense que baiser est l’expérience d’une vie … Alors que l’expérience d’une vie est de rencontrer Bach ou Proust… C’est parce qu’elle a rien d’autre à foutre dans la vie … ça donne du relief, de l’importance, un statut social, des DROITS, un REGARD,  ça meuble …  Et ensuite … On a plus qu’à enfiler le vêtement … C’est du ‘Sur mesure’.  

 

Rien n’est GRATUIT … et surtout pas les enfants … Quel putain d’escompte qu’un chiard !

L’objet ‘marchand’ par excellence …

 

Il n’y a rien de beau, d’original ou de neuf … Pas un trait, une ligne … Ou alors un vague plaidoyer pour tableau clinique … Pathologique. Oui.  Tout n’est que pathologie … A bien regarder non ? …

 Une schizophrénie planifiée … On y reviendra toujours ma chérie : 

« Les asiles sont des réceptacles de magie noire  » On a bien inventé la ‘folie’ quant on a voulu la ‘canaliser’, (pardon … la ‘cannetiser’ ) la ‘piquer’ à son canal de diffusion, la re‘traduire’, afin de la refourguer dans un autre emballage. Coca light ? … (Bon ici j’abrège lisez Bourdieu, ça ira plus vite … et aussi mon pote Antonin Artaud et J. Lacan … mais ne les faites surtout jamais  cohabiter sous le même toit sinon vous finirez par vous prendre des baffes et des coups …)

 

 

Un gosse n’est qu’un ‘miroir’, une projection, un retour sur investissement escompté … Un objet ou l’on pourra ‘investir’ mais aussi ‘être’ investi … Complexe d’Oedipe … G.P.A ! Tout le monde bouffe au râtelier.  Le DROIT à l’enfant ma chérie.     Tiens ça m’a fais plaisir de voir que J.Bové est aussi contre la P.M.A … C’est rare les personnes qui ont suffisamment de bon sens pour discerner……….. ‘’’Au delà’’’

 

Un gosse ma choute est enfin, pour l’homme et la femme, c’est à dire pour l’homme, la seule possibilité d’aimer son prochain … Ce qui là aussi est un leurre … Car l’homme n’aime pas d’avantage son enfant il n’aime que l’idée que le sang qui coule dans ses veines est le même que le sien. ( Au passage j’ai jamais compris pourquoi on disait ‘Nazis’ et pas simplement « êtres humains » Peut être la volonté de cantonner le ‘phénomène’ de le ‘Totémiser’) ?

On accède à la nationalité par le droit du sol mais l’enfant est et reste le droit du sang …

Schizophrénie ! Distorsion au sein de la société …

Schizophrénie tout est schizophrénie !

 

 

Et même quand vous êtes acculez à adopter en désespoir de toute cause et non par grandeur d’âme et choix,  vous satisfaisez encore au désir,  vous triez dans l’emballage, cet enfant plutôt que celui-ci … FASCINANT cette hiérarchie … Tous les enfants ne sont ils pas semblables ? 

- Non … la couleur de peau … le sang … l’exotisme … Le catalogue en vogue. Le dernier film au cinéma. Les 101 Dalmatiens.

 

 

 

Ainsi le temps qui passe m’accompagne gentiment … car il n’a assurément pas le même sens pour vous que pour moi … J’aime me dire que à la fin de votre vie après avoir usé et sucé par l’envers toute la sève possible à l’intérieur, vous aurez fini par apprendre comment il faut vivre …

 C’est bien sur trop tard … et c’est faux, mais … J’aime ce ‘temps’ là … C’est ce ‘Temps’ qui m’accompagne.

 

 

 

« Mon père a dit : j’aimerais ne plus peser

sur tes épaules

Si tu me descendais à terre

On pourrait marcher côte à côte

Je ne suis pas aveugle ni paralytique

Seulement un peu mort

Pour le moment

Peut être qu’on pourrait se donner la main

Comme quand tu étais petit

Maintenant c’est moi qui suis petit

Mais je grandirai

J’ai l’Eternité pour ça. »

 

« Dialogue » extrait de « Sombre comme le temps. »

 

 

 

 

 

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18 décembre 2013 3 18 /12 /décembre /2013 11:56

 Cette Reconversion ? ? Ça en est où ?  On peut pas dire que tu partages la ‘’’fluidité’’ prolifique d’Amélie Nothomb …. Ou celle d’un Musso (Guillaume …Alex c’est l’acteur). Pourtant la ‘plage’ littéraire s’est ‘élargie’ considérablement … Voir Deleuze …

Oui … Victor Hugo et Jules Verne … Quant on y pense … Bien sur que la ‘mauvaise’ littérature chasse la bonne … Propension à l’inertie intellectuelle. 

 

« Point de systèmes, beaucoup d’œuvres. Lui, prenait le sentier qui abrège : l’Evangile. »

 …………..Clin d’œil à … : La « Bible » !

Hein ? Ben allôôôôôôO quoi ?

« Hélas, Dieu donne l’air aux hommes, la loi le leur vend »

 

« Je roulais en voiture quand tout à coup …. Plaf !  Une soucoupe volante  »

Ah non …ça c’est David Vincent

 

« J’eus un rêve : Le mur des siècles m’apparut »

 C’est là dedans qui faut qu’tu prennes ton recul sinon y’aura jamais aucun souffle.  Tu va t’planter le nez dans la poussière pas même  niveau  David Vincent.

 

L’Ecriture est une ‘forme’ autonome, qui possède une Identité, les mots ne visent qu’à en révéler les contours.  C’est le ‘marketing’ du ‘je’ actuel et ‘totalitaire’ qui amène sa réduction à la personne … Oui on peut dire que le ‘je’ a évacué  jusque la perspective de l’autre qui n’existe plus, puisqu’il n’y a plus de pensée.  Regarde moi ces gueules, casquettes vissées sur la tête  encapuchonnés, bagnoles tuninguées,  fringues made in Bengladesh Nike  … L’Autre s’y envisage à un jet de branlette … Périmètre étroit.

La vrai banalité du ‘Totalitarisme’ qui proposent aux manges merdes du foie gras pour 5 euros le kilo à Noël.  Un ravalement de façade aux salopes ou un bébé  en kit avec des tuyaux partout mais on s’en fout !   Du 240 au compteur ! Des Téléthons à la con ( On a retrouvé les sous de Crozmarie ?) pour SAUVER trois morveux qui font pitié à la télé … Et EXTERMINER des populations entières à l’aut bout de la planète … ben ouais pour nourrir le mange merde il en faut de l’élevage intensif … Allez on rase tout ! 

 

Que faire quand on a les cordes, les bois, les cuivres mais pas de caisse de résonance … ?

 

Caisse de résonance = Le monde créer en moi le lieu de son accueil.

 

C’est l’après midi, le soleil qui vient se réfléchir sur ma fenêtre  me rappelle que nous sommes tous des réflexions de quelque chose.  Je décide d’aller vers cela … C’est le début … peu importe comment je vais le consigner … Calame ici, pastel là bas …

 Ce ‘quelque chose’ c’est le territoire de l’écriture (ce ‘truc’ over the rainbow .. Non ! pas les dollars qui jonchent le sol ! !)  C’est ce qui indique  la distance, le lieu d’où l’on écrit.   C’est ce qui donne des phrases comme : Ecrire est une tentative d’approche… Le ‘placement’ n’est pas du tout le même …

J’écris (Je bouffe, je baise, je je je je je je je je je je je )

J’allais à la rencontre de mon écriture … Comment,

Sur ces sentiers qui nous inventent …  Même dans l’auto fiction il doit y avoir cette  ‘circulation’ du ‘je’ qui ne se complète qu’à distance de lui même.  

Autre phrase … ‘C’était un sentier limpide’ … Tu vois la mise en apposition ?  Le ‘renvoi’, le déplacement. Où est le ‘je’ ? Ah pourtant il est bien présent …

Easy isn’t ?  Corporalité.

Quelle belle phrase … C’était un sentier limpide … Tu sens l’accroche ? … L’approche.

 

Le lieu de son accueil = le lieu de réception … Qu’est ce que j’ai suivi ? Qu’est ce que je suis ?

J’ai entendu ! Qui a dit une conne !

Je suis mon Ecriture. Je m’insert dans la structure même (de la phrase) et non dans ce plaquage artificiel du ‘je’ scolaire et … Totalitaire.

 

Eh Ho … Tu sais ce qui te manques … de l’espace …. Imaginatif … C’est à dire ………………Réceptif 

 Une fois ce lieu de réception trouvé (la distance) Ben … Y suffit d’écouter … (D’où l’importance de la note chez Dante … bref …) Les premières notes sont  comme le sillon qui grave  la cire … (L’écriture automatique …) où il  suffit  de revenir pour lire.

 

 

Bon … Ben je crois que je peux faire une croix sur la reconversion littéraire … 

Ouais … Je sais … C’est une question d’interprétation … Toujours.

Ce n’est qu’une question d’interprétation … C’est dommage … Tu connais Sophie Calle ? Elle figure pas dans ta ‘liste’ …  Et les ptits Lu’ t’as quelque chose contre ? ? ?   Non …parce qu’y sont pas dans ta liste …

Sophie Calle est Plasticienne … Elle s’insert dans son Art … passons … c’était pour mettre en relief un truc …

1/ Pour Ecrire, il faut ne pas appartenir aux codes de son époque, afin  d’avoir un autre référent apte à ‘discerner’ son époque.  Une ‘infirmière’ ? ? (Le prend pas mal …)  T’es ‘en plein’ dans ton époque … Et ce ne sont ni les préservatifs ni les seringues qui peuvent te donner cette ‘temporalité’ de recul … Nécessaire …

Quant aux gosses … j’aborde même pas le sujet … Ce primitif besoin de possession. Ce ‘marquage’ à destination  …

2 / nous l’appellerons le choix du ‘promontoire’ … Le point d’où tu observes l’époque … Voir Lévinas et cet ‘Au delà’ du discours seul apte à juger le discours … ‘Juger’  au sens d’entendre ‘intelligiblement’ hein … passons …

- Oui. L’époque actuelle, dévitalise et substitut.

- Non. Pour en avoir conscience, il faut ne pas être de cette époque … 

3/ L’interprétation … Ahh ! Le sens que l’on donne aux choses … QUE DIRE … de plus ?

 

Donner est une ‘impression’ … On ne donne JAMAIS on ne fait que RENDRE.  (Pareil pour l’Ecriture) La part de l’autre.

Fluidité ? ben oui … Tiens, au ‘hasard’, une phrase  : Je fais du trapèze sur un mot … Mécanique de l’Ecriture.

Toi tu penses ‘délire’ … (Les préservatifs et les seringues …)   Et : STOP.

C’est l’interprétation.

Maintenant observe : « Je fais du trapèze sur un mot » D’Où vient cette phrase ?  Quel est son point cardinal ?   Image  … Trapèze … Cirque ? Tu plantes le CHAPITEAU … Et tu as déjà le Matériau … Vise le tissu. La toile épaisse, ouvragée, traduction d’un temps ou les vies de chacun s’inséraient dans ‘leur’ temps sans en rien perdre. Puis-je rajouter … La mécanique ne …(Phrase à compléter) Tien, voilà pourquoi et ici, Amélie N parle d’accoucher un livre … Au sens …’Emmaïeutique’ ! Rapport aux choses.  Le bruit de la toile qui claque au vent … eh oui cela aussi … c’est le goût du souvenir … Le sable de la piste …

T’as un ‘souvenir’ de cela ? ce sable est … ‘comment’ … Quelles sont ses caractéristiques ?

C’est vrai … Toi tu as dis : STOP !

Quelle est la couleur qui prédomine … dans un cirque,

Pourquoi ?

Le rouge … Mais aussi ce mot extraordinaire, presque mystérieux …  ‘bariolé’ . c’est pas beau ça ?  Bariolé.

J’adore ce mot !

Il y a beaucoup de musique dans ce mot non ?  Me demande si ça vient pas de l’Italien … Tempo. Mais si. Farandole , Oui … mais autre chose de plus … Ah … y’a une autre composition … Tu entends la musique ? Plus enlevé plus enjoué.  Un rythme sur 6/8 … en  T… R …. L … qui prend lui même ses racines dans un terreau précis.

Une fois la surface parfaitement (et dans ses moindres détails) saisie, celle ci appelle la profondeur. 

Le sens, le battement, le mouvement. Le cœur.

La fluidité c’est le rapport entre les choses à ce niveau. L’Ecriture est ? Une résurgence ! Ouiiii !

Toi tu as dis : STOP.

Bon moi je suis resté avec, Fellini et Peter Ustinov (Lolla Montes) … de plus en plus lourde pour son trapèze …

Mais la tragédie c’est trop vulgaire, j’aime pas …

Légèreté … tu vois le truc ? Lolla Montes, mais … lorsqu’elle était jeune … avec les plumes qui voletaient autour d’elle. Aérienne.

 

- Cette phrase n’a rien a voir avec son sens ‘littéral’. Tout y est recomposé, (Tout s’y compose) en fonction de ce que l’on veut décrire (de ce qui est)… Le ‘trapèze’, le ‘Je’ (passage obligatoire … Mais enrichi de plusieurs allers retours …) La fonction du miroir ! mais pas au niveau manges merdes et trous du culs hein …

 D’appositions et de renvois … C’est le plus important, ces décalages, ces renvois,  c’est la répartition du ‘sens’ au sein de la phrase … (Et ne jamais oublier la place ‘vacante’ … Celle du ‘pauvre’ … Ben quoi c’est bientôt Noël !  Comment est la place du pauvre ?)  Elle doit également figurer dans la ‘phrase’ ; C’est généralement parce que l’on écrit de ‘nul’ part c’est à dire d’à soi … (La fameuse ‘exhortation au ‘Assumez vous ! des bouffeurs du ‘misérabilisme’, pseudo coach du développement personnel, qui décomplexent le ‘je’ à sa plus simple nullité dans une communion mutuelle  avec l’inculture et la bêtise ‘assumée’ )  que cette fonction trouve son application laborieuse dans la ‘ponctuation’.  D’abord codification  significative, puis … de moins en moins pour raison d’inculture et de crétinerie … ‘Assumée’ ! (Et de ‘biaiseries’ par d’autres crétins que sont les surréalistes …)

 

C’est là où le ‘sens’ se rétablit.  Cette ‘réflexion’ qui procède toujours d’un  ailleurs.

 

Rétablissement  (Ce mot est issu d’un de ces points de rencontres que l’on nomme … ? )

Rétablissement … Prises des mains … « Elle n’est plus seule sur le trapèze » … (ça c’est encore de la poésie) Pourquoi ? (Les mots sont signifiants de ce qu’ils veulent dire mais ne sont pas le lieu de leur ‘sens’)  c’est ce ‘décalage’ qui fait la poésie.  C’est pour cela … Que la ‘Poésie’ en elle même n’existe pas … Il n’y a que la Prose ou … l’Ecriture. Même l’adjonction d’une ‘musicalité’ ou d’une mise en forme particulière, ‘césure à l’hémistiche …’ Appartiennent au sens et non à une figure de style nommée : Poésie …  (La Poésie n’est qu’une visée de perfection dans l’expression , c’est à dire de … prise en compte )

 

Ainsi rien a voir avec le ‘Je’ ou le ‘Elle’, car y’a personne sur ce trapèze bien sur  … D’ou au passage, cet autre ‘mécanisme’ nécessaire d’écriture : La ‘distanciation’, le ‘Je’ … Le ‘je’ qui … ? Qui se ‘recompose’ à distance de … On va dire ‘lui même’ (C’est à dire de la personne qui écrit …et qui prétend au …’je’ )

C’est un autre ‘je’ … (Oui … la fameuse phrase … que tous les trous du cul  ânonnent …) Plus le ‘je’ est ‘autre’ et plus l’Ecriture se révèle ET ‘révèle’ … C’est un  ‘je’ qui  se révèle à distance de lui même dans ce mouvement d’échange  (distanciation)  … Un ‘je’ que l’on parvient à appréhender en tant qu’objet extérieur,  (processus d’inversion) et là tu as non pas ‘’crée’’ (car prétendre cela permettrait de valider le n’importe quoi sous le label ‘création’, comme c’est le cas actuellement, d’où au passage l’importance de valider un ‘repère’ du beau … ) mais juste découvert  le marbre qui cachait la statue …  Tu ne créer pas évidemment  mais tu donnes un ‘contours’, tu dégages les formes et ensuite la nature de l’objet se révèle …  Il n’y a plus qu’à ‘décrire’ … Et si ta puissance ‘incantatoire’ peut symboliser jusqu’au souffle … Alors tu peux rejoindre ‘Blake’ et sa fameuse poétique ‘To hold a world in a palm of your hand …’ Mais reconnaissons que pour aller acheter une baguette on peut s’en passer … Quoi que …

 Ainsi on peut écrire d’ailleurs qu’à soi … l’encre se levait sous ses pas  (Ici on s’achemine vers ce que d’autres trous duc’ ont appelés l’écriture ‘automatique’ … )

 

Tu vois pourquoi  l’Ecriture (La véritable recherche d’Ecriture et non la merde que deale les ateliers du prêt à penser modernes) suffit à remplir toute une vie. 

C’est l’évidence d’une vie et c’est un dialogue complice de chaque jours avec une ‘autre’ figure … Ou bien la figure de l’autre … C’est valable aussi … Comme les accords en musique qui dévoilent peu à peu l’ architecture, l’Ecriture révèle peu à peu sa nature.

C’est un sentier limpide qu’il suffit de suivre … (Inversion) l’encre de l’écriture se levait sous ses pas … (d’où à trouver dans son fatras personnel de ‘notes’ et d’écrits, où réside cette écriture, en quelles formes elle apparaît … ) Cette ‘concentration’ infinitésimale c’est … L’Ecriture. T’as toujours ta loupe ?  Va y tu peux chercher.

Nous avons là l’indice de dilution … Le soluté …

 

T’affole pas même chez V.Hugo y’a de la déperdition c’est inévitable … On peut pas être à 100% dans TOUTES les … Virgules ! (Oui ! Hélas nous faisons des concessions sur certaines virgules que par négligence nous laissons là sans nous en soucier d’avantage … Boaf …)

Chez Baudelaire tout est traduit il n’y a aucune déperdition ni … Négligence. Baudelaire est attentif à tout

Cette ‘déperdition’ est un manque d’implication ; De la ‘concession’. Du ‘temps’ matériel que l’on sait insuffisant et par où on ‘bâcle’, on ‘concède’ à …

- ARRH ! à Quoi ?  …………. Aux enfants que cache le deuxième esprit de Noël sous sa robe … Eh Oh !

Mais quelque fois être sur la voie de la déperdition est plutôt bon signe … Comme quoi tout est fonction du contexte …

Le troisième niveau est celui où l’on perçoit cette ‘identité’ ‘étrangère’ qui se forme au loin … (Merde ! ! Pile poil avec mon pote Blanchot ! ! Et même pas exprès  ! !  mais exprimé d’un … ‘Ailleurs’ … Oui … je suis beaucoup plus précise que Blanchot …

Des fleurs ? ? ?

Pour moi ?  Oui merci !) 

Le quatrième … est le niveau 0.

Les grands écrivains ( Pardon … Les Ecrivains)  se rejoignent dans le propos, la différence n’est qu’une différence de ‘tonalité’ … La ‘Clef’ à la portée … ici la musique, ici la terre … Une écriture de lumière là, une de … Moulin à vents là bas … Ça ‘brasse’ le même sujet (Phrase Célinienne  … C’est là que Céline est un écrivain … Ecrivain de l’ordure certes mais … Néanmoins !  )  Si j’osais … Non … Une autre rubrique une autre fois …

 

 

Pourquoi est ce de la poésie ? « Parce que c’est à vif » (ça c’est encore de la poésie …) Parce que c’est la ‘mécanique’ qui parle, par ce ‘processus’ de décalage …ou l’on parle d’en ‘dessous’ les mots …  Poésie ? Non … mécanique !

 

Les points de ‘rétablissements’, ces prises et appuis

Cette ‘image’ n’est qu’un exemple, mais un exemple assez complet …  (C’est une autre question de la fabrication de l’Ecriture … le rapport entre le territoire du mot et celui de l’objet …  Le mot nourrit l’idée, la substance, en détermine les contours jusqu’à ce qu’elle devienne ‘matérielle’ …et qu’elle génère de nouveaux mots, reflets, éclats …)

 

Ces points de rétablissements … c’est la ‘Fluidité’. Ces connexions pas mêmes perceptibles qui peuvent passer par une … Respiration.  Par un bout de bois, qui était là.

Rétablissement.  Mais le sens lui demeure toujours, c’est l’artère principale par laquelle tout s’achemine. Croire qu’un mot est circonscrit à son territoire sur le papier n’est pas la réalité.

Il procède déjà d’un ailleurs … Même si t’essayes maladroitement d’en infléchir le sens en l’écrivant  (Cette phrase ne se comprend pas …  Comme dit Pessoa … Un paradoxe n’a de sens que si il n’en est pas un. ) Ce sont des formules ‘noires’ ou neutres … Toutes les formes s’annulent cependant le sens demeure … Par ailleurs.

 

Structure et fonctionnement : Poésie ‘Naïve’ ? … Oui … C’est une petite ‘orientation’ mais sa structure elle n’est pas ‘naïve’ … Sa provenance est très technique. 

L’Art brut et L’Art Naïf … (Non … Juste une idée pour plus tard … )

Bien on s’achemine vers la ‘Structure’ … Le ‘Que veut dire cette phrase’ D’où vient elle ? De quoi provient elle ? 

Tiens … Pourquoi à cet instant précis je pense à : « La rentrée des classes c’est comme un soulagement d’exister … »

(manipulation …)

 > Enfance.

Passons …

Ceci n’était qu’un exercice projectif de … désembouteillage …

L’Art Naïf …

 

Derrière ces mises en lumières il y a le fonctionnement, la … Machinerie. L’expression des rapports, ce qui apparaît à la surface, l’Art de la ‘note’, saisie, raptus, esquisses, mais qui contient absolument tout par en d’ssous. Effleurement qui prend possession de la matière profonde.

Poésie Naïve :  Prévert et Cocteau … Cette ‘poésie légère d’orientation’ … Ce ‘déchiffrement’ à la surface mais pas trop, comme juste à peine ‘effleuré’… Juste ce qu’il faut

 

Ce positionnement en fait est très précis, et l’on ne soupçonne pas Blanchot à la machinerie.

 … Le ‘neutre’ très chère, voilà la question ! le ‘neutre ou …le ‘Vide’,  la place vacante ( Encore une perspective de 10 pages … mais ça on verra à Noël prochain … )

 

 

 

 

Bientôt Noël !        L’Ecriture ?                                  C’est la différence :

 

 

 

 

 ~ Entre  ~

 

-  Plusieurs ayant entrepris de composer un récit des événements, il m’a semblé bon aussi après avoir fait des recherches sur toute ces choses  de te les exposer par écrit et d’une façon suivie.

 

« Il y a bien longtemps par une claire nuit à Béthléem on entendit le cri d’un petit enfant, une brillante étoile éclairait le toit d’une étable.

En ces temps les bergers passaient les veilles de la nuit à garder leurs troupeaux, et voici un ange du Seigneur leur apparut et la gloire du Seigneur resplendit autour d’eux . Ils furent saisis d’une grande frayeur, mais l’ange leur dit : Ne craignez point ; car je vous annonce une bonne nouvelle qui sera pour le peuple le sujet d’une grande joie :  C’est aujourd’hui dans la ville de David que vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur.

C’est un enfant de pauvre né dans une humble étable et déposé dans une crèche.  C’est à ces signes que vous le reconnaîtrez et que vous le trouverez » 

 ~ Et ~ Le foie gras à 5 euros le kilo des manges merdes.

 

 

 

 

Bonne Nativité !

 

 

 

 

 

 

 Hein ? ?  Un Cantique ? ?

Euh … Oui pourquoi pas …

 

 

 

 

 

 

 

 

« Quelqu’un a un Portâaaableu

C’est Insupportâaaaableu

- C’est Interdit par la Loi -

Lors des prômnades en trainoooooooooô »

 

 

 

 

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12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 17:45

Ouh La … !  Ah Ouais ! ! ………… ! A ce point là ? ? 

J’avais reniflé le truc, mais … C’est à ce point que tu bouffes sur la souffrance des autres ?   Je pense Qu’Antonin Artaud vous aurait craché à la gueule, c’est d’ailleurs ce qu’il faisait … 

L’Art Brut ma chérie ! Tu sais ce que c’est ? ? C’est vous voir courir quand on vous interpelle … 

Madame ! Eh Madame ! ?  Et où tu vas Madame ? ? T’es pas capable de me parler ? ? 

Tu sais pourquoi Laurence tu ne veux pas me parler ? ?   

Maman ! ! (Eh Oh les gourdes, je déconne ! ! )  Parce que tu es ces personnes qui détalent à toute allure devant … Non pas  la Folie, mais sa révérence, le ptit truc avant … Le souffle annonciateur, Ce temps qui contient toutes les possibilités, cet ‘entre deux’ prêt à basculer  … PréMonitoire !  Ça pue le danger hein ? 

Ben dans une pochette surprise on peut toujours tomber sur le cadeau pourri. 

Artaud, vous aurait casé à la queue du train, dernier Wagon des manges merdes. … Et tu n’aurais pas compris …   Mais Artaud n’était pas la Folie … Il n’en était pas même la traduction. La Folie ma choute c’est le pallier affadis, qui n’a en lui même aucune signification … car quand c’est détraqué y’a plus rien à faire …  Comme dirait Dante, « Ce sont les derniers qui bouffent ici »  

Ainsi tu aimes la ‘’souffrance’’ ?  Non celle qui te salue d’un bonjour, qui t’INTERPELLE, qui demande une acceptation simple,  mais celle éthérée, canalisée, dans les endroits fait pour ça … Ma choute ! ! Je savais pas .. Mais je présumais … Tu aimes la souffrance … Comment dire …La Souffrance …  Coca cola ? ? ? La lac Tchad ? ? Ah Ah AH !  Eh ben on peut peut être se le partager en Dividendes ? Non ?  La Souffrance en Canettes, ‘industrialisée’ Formatée … 

- Hein ? La Souffrance ? ? ? Euh … Suivez les panneaux, c’est juste après le Drugstore là bas …  Je savais, SAVAIS !  Que c’était cette ‘souffrance’ qui actionnait ton mécanisme, non cette Souffrance que l’on accueille dans son entièreté, celle que l’on salue dans la rue en offrant un café ... Parce que toi tu traces devant les clodos et en courrant encore … Cette souffrance n’est pas encore à ta portée ? Pas assez porteuse d’utile et d’exploitable ? La Souffrance qui crève sur le trottoir c’est ‘’un peu’’ trop ! TROP … Brut ! Comme l’Art que tu leur pique … Aux agonisants …  Trop … Vrai !  Vous il vous faut la version ‘Traduite’ ? Edulcorée !  L’après … 

Ma chérie tu as pris une travée qui ne t’appartiens pas .. Mais tu n’a aucun sens du Sacré donc tu peux y aller …  La Bible ? Oui moi aussi c’est mon livre de chevet y’me sert à caler un pied du lit qui branle  … Chacun utilise la Bible comme il peut.  La théologie ? ? C’est le mode d’emploi ? ? 

Y’a pas à dire … Fascinant cet ‘épanchement’ sur … On prend des gants et des précautions, on ne se dévoile qu’à bonne distance ? 

Tu sais Artaud il aurait fait comme Moi … Il aurait PROVOQUÉ Pour voir si ta revendication était SINCERE … Si derrière ce ‘vulgaire’ y’avait au moins une excuse … Il voulait s’assurer de la pérennité de certaines choses. 

Tu sais ce qu’aurait dit Artaud qui était un VOYANT au sens Rimbaldien du terme … Il aurait dit « Les faiseurs d’Agonisants » … Et un ‘’’filet’’ serpentant  aurait saisi … De même qu’il disait « Les Asiles sont des réceptacles de magie Noire » 

Pourquoi ?  Tu veux faire partager ce que tu aimes ?   POURQUOI ?  Parce que c’est un ‘JE’ 

Ah !  Fascinante vos signatures … J’aime ci, j’aime ça, voilà le dernier film que j’ai vu, le dernier carrelage que j’ai observé, non sérieux c’est dingue ! Admirez la mosaïque !  

J’ai pris une photo !

Cette fois ci c’est … Moi !

Toute les excuses je savais pas … Tout ce qu’t’a trouvé pour exister c’est piquer leur souffrance aux autres !  C’est là dssus que tu rentabilises ?  Déjà pendant les cours je comprenais pas, ce systématique repli sur : Vous êtes malade ! Vous êtes déséquilibré ! 

Oh mon poussin ! J’ai adoré le «  Vous êtes EN REPARATION ! »  Non sans déconner canard ! ! Je me disais pourquoi donc cette conne, me dit que je suis en ‘Réparation’ ?  Non ! Moi j’pète la forme de ma race, je suis un être LUMINEUX, qui aime bien bouffer (Raisonnablement cependant, j’ai pas envie de gonfler pour devenir une grosse baudruche qui sue le gras parce que ça me dégoûte la … Veulerie  )  Qui aime bien picoler, des litres et des litres, j’attaque le porto à 7 heures du Mat’ en lisant du Simonin !  Mais suis jamais beurrée parce que j’aime surfer sur les bonnes vagues !  Toujours à l’affût d’une ptite prune qui attaque ! Histoire de liquider les reliquats d’un bon repas …  

Moi c’est le soleil et les brumes en hiver, qui font un voile devant le mystère …  J’attends la rencontre, la lecture, la musique la … Sculpture !

Tu m’as dis un ‘jour’ Moi je ne lis pas ça … Et tu lis Coehlo ? Musso ? … D’accord … La traîne juste d’avant … Eh oui… Cocotte parce que ne t’en déplaise y’a un ‘avant’  … C’est à dire un ordre. Un ORDRE. Mais Lequel ?   

Cale toi sur celui que tu revendiques et qui ne rend que ta structure d’esprit …. C’est à dire tes limites.  Ton inflexibilité.  T’es conditionnée ma fille tu peux pas ‘déboulonner’ ? T’as mis les pieds dans une secte ou quoi ? 

Moi qui te prêtais ‘un peu’ de … 

De vie.     

L’écriture ? ? Oh putain ! ! Si j’avais su ! Je devais avoir sept ans et peu importe, que j’ai émis une théorie,  en vous observant. Je l’ai appelé ‘Suicide et société’ .. Bon après j’ai vu qu’un gland m’avait piqué mon idée mais il comme il était là avant … 

Je vous observe et les Partitions s’imposent je n’ai que le temps de les bafouiller à la va vite. 

‘Suicide et société’ c’était l’évidence que dans la vie y’a des gens qui se nourrissent de la mort des autres ou plus justement de leurs … Agonie, tel des … ?

Vampires, petite écolière.

Parce qu’une fois qui sont crevés les paumés … Y sont plus RENTABLES !  Au plan exploitation s’entend. Leur ‘Misérabilisme’ fait bouffer le dernier échelon … Le votre. 

« «  La psychanalyse en mouvement ? » »  Tu m’invites ?  ça pourrais être intéressant, a titre clinique of course …    Mais quelle exploitation ? Ben la seule possible hein … Celle narcissique … Je vis sur la misère, pardon la SOUFFRANCE (ça pète plus hein ?) des autres. 

Vocabulaire IFSIQUE : Vous êtes en souffrance.  Ce vocabulaire, ma chérie, m' interpelle par sa tournure spécifique.   

Mais comment-je la rentabilise-je cette ‘souffrance’ ?   ‘Vous êtes EN souffrance’ … Je la rentabilise en la créant, en la SOLLICITANT. 

T’es d’accord ? Oui, Non ?    

C’était le cœur de ma théorie, l’humain envoie chier son prochain, qu’il aime à détruire, ensuite au vu des dégâts, il peut s’épancher et bouffer sur les restes … 

Ça lui donne un relief, que jamais il n’aurait eu sans la faiblesse de l’autre.  Quelle plus belle dimension que de pleurer sur le suicide de son prochain.  Y’a de quoi becter … 

 

Ben les manges merdes vous pouviez l’empêcher AVANT. Vous  êtes où avant ? 

Avant ?  Ben on est occupé ! ! La vaisselle, une rediff à la télé, les gosses, (comme si y’en avait pas assez des morveux!) Oui ! mais on en veux à nous ! Les liens du sang ! ! (Mr Lepen clin d’œil ! hum … ) Tant que la merde n’atterrit pas not’ jardin, tout est permis ! 

Car ‘Avant’ l’être vivant n’est pas encore foutu, touché, coulé … Il espère il attend, il vous regarde en vous souriant, jusqu’à ce qu’il finisse par comprendre qu’il est inutile de sourire, en vous voyant. 

Y’a un moment ou il pige que vous n’êtes que des faces de cons, qui bouffez déjà ailleurs. 

C’est quelque chose qui s’alimente, lentement comme la braise d’un feu prometteur. 

Après on voit radiner des billes de clown qui font la promo de thérapies parallèles à la sauce du n’importe quoi … La misère à la révision de leur échelle. Un peu d’Art thérapie ?

 Non seulement vous confisquez mais vous affadissez …

Alors expliquez nous votre souffrance.

 

- Ben j’ai écouté un album d’Evanescence  et tout à coup, éclair dans la nuit ! La vie c’est pourri, c’est un empêchement quotidien une entrave journalière, j’ai des camisoles symboliques (Oh .. Ernest prends des notes ! On va faire radiner les  négresses vertes y vont nous faire un bœuf là dssus ! !) 

Ben en gros c’est ça.

Mais le plus grave c’est que tu ne sais pas comment faire et que tu ne veux pas entendre.  Ben ouais, à aucun âge on ne peut changer …  La Lac tchad ? Oh !  Beau comme une promesse d’aube ! J’aim cette particule exotique !  La ptite brandeloque ‘ouverture sur le monde’ qui crève … C’est le ptit côté Afrique Exotic’, le paquet Haribo, Dragibus ou on choisit les couleurs … Elles ont toutes la même saveurs mais … Le Parfum … De la Dame en noire !  Combien de salopes qui ne peuvent enfanter rêve d’un ptit ‘’’Black’’’ ! Déjà entendu, cet ‘extrême’ Vulgaire  «  Moi je rêve d’un ptit black ! » Putain j’avais l’impression qu’elle parlais d’une glace Miko ! J’le voyais sur bâtonnet, l’africano !

 Bonjour j’voudrais un ptit Black ! Le racisme qui put à l’envers enfin plutôt à l’endroit ou vous ne comprenez pas dans vos sphères.  Que c’est vulgaire ! 

J’en ai connu bcp comme toi qui créait la souffrance et la destruction pour ensuite s’en nourrir … de cette façon. La ‘normalité’.

La psychanalyse en mouvement, merci j’ai un pris un mot, pour comprendre … 

 

Quant à … Cette formule qui m’a interpellé : « Ecrire c’est hurler en silence » … Parce que tel ((Eh oui i’m sorry !)) Balzac ou Hugo … Inf Désolé ma chérie mais EUX y Ecrivent.  On ne mélange pas les genres. 

Cette formule est une composante infime de l’Ecriture. Tout comme l’Engagement qui est une ‘nécessité intérieure’.  Vous faites de cette composante, une totalité et pourquoi ? ? Mais parce que vous rentabilisez la dessus, sur la souffrance et de ce fait vous corrompez et l’ensemble et le cœur de l’ensemble. Vous prolonger les agonies. Vous faites de l’écriture (Ou vous n’êtes jamais entré) un Bazard qui deale du misérabilisme … Non l’écriture ce n’est pas hurler en silence, c’est cheminer aux côtés de ce qui vit. Avec l’énergie.  

Vous pouvez sourire, cela semble mieux accueillir … « Bienvenu » !  

Encore une fois les taches, les ‘écrivains’  prospectent au sein des choses.  Baudelaire et l’infini  ici. Artaud qui vous interpelle dans vos prétentions … 

Quand on voit ce qu’il y à a prendre sur votre site ! ! Putain ! ! L’Ecriture du « j’me met une balle dans la tête ! ! » On dirait un site pour ado pré pubère … Heinn T’as vu mon poster…hein ? ? Ça tourne en rond comme ça s’branle … D’un côté des ‘créateurs’ et de l’autre les manges merdes qui saisissent les miettes à leurs niveaux. 

Et Bach dans tout ça ? 

Ben….hein…On attend la sortie… au cinéma…. Et le poster!    

 

Allez Stop ! 

Suis ta caractéristique, celle  à laquelle tu n’as même pas accès … Peins tes breloques ((Qui sont pas mal certes … ça m’fais penser à un tableau d’un pote … Poursuivis par Lacan … Antonin Artaud qui détestait Lacan … )) Franchement … Pas mal … C’est joli, ça capte la vie à un niveau de brisure ….  Mais choupi appelle au moins une fois les choses par leur noms c’est pas de la peinture c’est du défoulement, c’est un FIL noir effiloché , serré qui se déroule dans un espace confiné qu’il est impossible d’y démêler … (Suis pressé j’ai un train à prendre … Encore une énigme à résoudre …) Plume trempée dans le mal être, la discordance,  CELLE des AUTRES ! Mais pas la tienne.   Toi tu créer la discordance.     C’est pour cela idiote que dans tes peintures il y a de la lumière et du diaphane par lequel on peut s’échapper. Ceux qui crèvent ne s’échappent pas.  

Désordre psychique, distorsion, art thérapie issu de la psychiatrie.   

COUPABLE ! De rentabiliser sur CE que vous créer. Antonin Artaud vous détestait.   Mais si il avait vu à l’époque ce délavé, si il avait vu comment vous vous êtes réappropriez la souffrance brute  que vous générez, pour la niveler à vos vies fadasses et lâches,  c’est pas à coup de canif qui se serait martelé pendant ses séminaire.  Si il avait vu le résultat, tous ces crétins improductifs qui tournent en rond dans leur chambre et qui trouvent la permission de faire chier avec leur état d’âme …A cause de ramasses comme vous …. 

 Vous ne guérissez RIEN ni n’apportez, vous amplifiez simplement ce qui n’en avait pas besoin. 

Eh ! Mein Liebe ! Tu la connais celle là : A propos des ‘’Tocs’’(Sous Anorexie et boulimie pour les friqués qui s’branlent  devant  leur miroir :   Info locale : Mamadou en plein exode de son village, décimé par la junte locale, ne peut s’empêcher de marcher que sur des cailloux noirs ! ! » 

Humour toujours ! ! 

 

Alors ma chérie ! ! Quand est-ce que tu m’invites ?   J’ai tous les droits par rapport à toi. Mais je n’en userais pas au delà, j’ai sucé jusqu’à la moelle.  Le temps d’un voyage avec Jules verne … La politesse en moins. 

La Bible ? ? ?

Héhéhé !  Ouais c’est pas mal …. Euh c’est à Moi ? 

Pffff …. Bon Qu’est ce qui est petit noire et jaune ?

Une mouche avec une dent en or !

Ben c’est drôle aussi ? ?

 

 

 

Merci Laurence, pour toutes les personnes, Rigolotes, bizarres ( ?), interpellantes, accueillantes,  surprenantes, toujours là au bon moment !,existantes, prévenantes, sérieuses ! Très sérieuses, scotchantes !  

Que j’ai eu l’occasion de rencontrer, en cherchant simplement à te parler.  

 

P.S : Tu as traité par deux fois ce que je suis  du nom de Junkie … Moi a ta place je laisserai tomber la Bible espèce de conne.  

Parce que pourquoi ? ? ? la Bible ? 

La Bible en quel endroit ?  

« Mais Moi je dis je suis perdu ! Je suis perdu ! Malheur à moi ! Les pillards pillent et les pillards s’acharnent au pillage ! »

« Ils viennent, ils dévorent le pays et ce qu’il renferme »

 

Bon cette krau ça vient ?

Santé.  

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10 juillet 2012 2 10 /07 /juillet /2012 11:56

 Le mauve et le couché du soleil … Fluidité …   Mais encore faut-il savoir en quel point tout est lié. 

Quel est le point de liaison universelle ?  Eh Oh ! Maintenant que t’es écrivaine va falloir ouvrir ‘un peu’’ les sas hein …

« Sapée comme une clocharde » ne m’aurait pas dérangé … Au contraire j’y aurais vu un humour et un esprit joyeux … Un tout autre sujet quoi …

 

« Elle n’était pas féminine » Du chipotage de cours de récré mon enfant.  Est-ce que tu perçois la différence au moins ? ( J’emploie percevoir parce que j’ai l’impression que ça ‘mobilise’ d’avantage pour y ‘’voir’’)  des fois que ta lecture reste au niveau des yeux … J’essaie d’y enfoncer ‘un peu’,  pour qu’ça aille plus profond mais … Rigidité … Cadavérique.

Y paraît qu’aux U.S.A y’en a qui ont vu des zombis … Oui et alors ? A part ça quoi de neuf ?

Moi je me demande très chère ce que la Féminité rajoute à la Femme (Nous avons vu par la négative que l’absence de féminité ‘ôtait’ quelque chose  en relevant  ‘un’ défaut , que nous nommerons pour le fixer : ‘Vide’)  … On le remplira plus tard de sa réelle signification  …

 ( on dirait une formalisation pour une équation à J inconnus).

Well, Nous avons vu qu’une femme devait être ‘’féminine’’ c’est à dire, Assujettit à une ‘norme’ extérieur, puisque cette ‘féminité’ ne dépend pas d’elle … Ex :

Oh .. t’es pas féminine toi !

Si !

Ah non !

Ah si !

Ah non ! … 

Ben si !

Ben non !

Ainsi la femme ne se suffit pas, elle doit être ‘féminine’. Qu’elle est la nature de cette ‘exigence’ ?  De quoi procède t-elle ?

 

 Ce qui est intéressant c’est que cette ‘féminité’ en elle même n’existe pas (Universellement, existentiellement … Ontologiquement !)  Culturellement oui, en tant que traits d’ici ou de là bas adoptés avec le climat, l’air du temps,  Nina Ricci … Mais pourquoi faire de ces ‘tralalas’ une ‘norme’ ? Bizarre … Cette appellation : Féminité.  C’est déjà doublement condamner.

A arborer des marques spécifiques : Un anneau dans le cul ça t’dit ? Ah ben y’a des tribus qui le font ma choute !  Qui te dit que ma ‘’’Féminité’’’ n’est pas celle d’une lointaine contrée ? Non répertoriée par vos géographies … Limitées.  Une mosquée ?

A ne pas évoluer … Parce que triple buz(ette) comment puis-je sortir de ces ‘schémas’ archaïques qui définissent avant moi, ce qui je suis ? … N’est ce pas moi qui apporte à la ‘’’Féminité’’’ ?  Oui ou non ?  Shakespeare existait-il avant Shakespeare .( Définition du style). La marche de la ‘condition féminine’ c’est quand même des femmes qui se sont peu à peu extirpées des entraves ‘extérieures’ …

And the winner is … Le fascinant : Qu’est ce qu’une femme sans féminité ?  Je dirais un esprit libre, conscient de sa condition et de sa condition au sein de l’ensemble, c’est important (Quelqu’un de végétarien !) un ronéotype sur lequel  rien n’est inscrit et où tout peut donc s’inscrire. Une ‘femme’ libre de définir. Celle qui n’a pas encore perdue.  Un être humain simplement ma chérie, qui vit, respire et aime toutes les possibilités qui se présentent à lui. Une personne au monde, dépouillée de toute ces entraves que des gens  par solidarité triste et rancunière essaient  de maintenir. Le Dieu des humains est la plupart du temps un Dieu triste, sentencieux et plein de récriminations.  Note qu’il en va de la femme comme il en va de Dieu, on a rien trouver d’autre pour s’y opposer que le terme d’athée : La négation, qui entre nous n’ôte ni n’apporte. Pas plus qu’un poème qui n’est pas encore écrit.  Le ‘Vide’.

 

  La ‘féminité’ ne se révèle pas lorsqu’elle existe, comme le noir ne se remarque pas au sein du noir, elle se confond donc alors avec la femme.

Elle est ce noir ‘neutre’ qui se confond avec la personne. (Ce qui est Ouf ! C’est quand et comment ce ‘noir’ va être ‘extrait’ de la personne) Quand la féminité est-elle extraite de la personne ?  Quand donc apparaît-elle ? Et comment ? Ben quand le noir décide de voyager et d’aller chez le blanc. (Où pour être exact lorsque le blanc décide d’aller faire chier le noir, le rebeu, l’aztèque, le vishnoï, le mohican, etc…)

Quand donc la féminité se révèle t-elle ? Nous l’avons vu, lorsqu’un EXTERIEUR relève l’absence de féminité.  C’est à dire ? … L’absence de caractéristiques (Attention accent mis sur la personne) que JE dois  posséder (On va finir par croire que je ressemble à Quasimodo …) qui tel Truc floué de ses attraits, tronqué de nobles proportions me rejettent hors de ma prétention à être femme ! Moi qui croyais que c’était la femme qui faisais la féminité ! Je comprends pourquoi y’a pas d’évolution possible de ton côté. Ça cloisonne étroit!

 

L’absence de caractéristiques que JE dois posséder … Par rapport à quoi ? Aux talibans !

 

C’est le ‘par rapport à quoi’, qui est fascinant, cette ‘exigence’ extérieure qui m’enjoint  d’exister à distance de moi même. (schizophrénie et hystérie) Non … Cocotte  je parle pas pour moi … Je parle pour les femmes qui essaient de construire leur indépendance sur une notion qui appartient à cet autre … Jusqu’où une femme a le droit d’être une femme ?   Pourquoi choupinette devrais-je exister par rapport aux codes et chiffons des autres, ne sommes nous tous pas ‘différend’ ? (Déf de la normalité) Moi je compte bien enrichir la notion de ‘féminité’ d’unes ou deux grappilles supplémentaires, tiens je rêve du jour ou les femmes pourront voter !

 Le ‘noir’ doit exister par rapport aux blancs sinon … ? Que devient-il alors ? Le noir soumis au contrôle du blanc devient ? Un … ? Il y perd ou il y gagne ?

 

En tout cas cette ‘absence’ de caractéristiques floue bien de quelque chose ? De quelque chose d’essentiel. De l’appartenance. Non celle au groupe, ‘phénomène’ secondaire, aléatoire et fluctuant qui se définit par  un jet de pierre et le sens du vent. Mais bien celle à l’individu d’abord et ensuite au  groupe …  (Quoi que pour appartenir au groupe des connes hein… Y’a quoi d’autre sinon ? ? Le groupe des cons ? ! … Euh .. Je vais réfléchir encore un peu …)

 

Celle à l’individu, seul à même de questionner, d’interroger, de relever, de repositionner le ‘groupe’, (Moi le vote des femmes j’y crois !)

Comment l’individu peut-il être ‘crédible’ si on ne lui accorde pas en amont sa légitimité à être ? A être au nom ?  ( Ouais moi perso j’ai pas besoin d’être ‘au nom’ m’en bats l’œuf !, bien que cet ‘Au nom’ permet de maintenir quelques limites auxquelles je tiens, passons … Mais pour actionner les mécanismes à vos niveaux faut passer par là … Merde … Où qu’elle est mon tchador et ma burka ! ! ) Mais Moi je vis dans une Démocratie ou les ‘cons’ sont relégués dans des endroits spécifiques que l’on nomment ‘Stade du football’ ou l’équivalent franglais : Gradins. Je n’ai donc qu’à supporter que quelques lointains échos foot--ballistiques.  C’est très rare que je sois touchée par une balle perdue … C’est d’ailleurs pour ça que je suis contre le foot féminin !  C’est trop dégradant ! Humainement parlant …

 

Si la femme ne fait pas la féminité, elle ne peut pas évoluer, c’est à dire se ‘dégager’ des schémas sclérosés et des idées préconçues comme les tiennes. Elle est condamnée à rester enfermée dans un ‘modèle’ immuable qui lui dicte sa conduite.  Choisi ton époque … 1965 ? Avant ?  La femme ne doit pas porter de pantalons, ne pas faire de bicyclette, c’est pas féminin c’est même très vulgaire ! 

C’est ce « Pas féminin » là qui m’énerve le plus, celui qui cloisonne et empêche l’égalité des droits.  Quant à l’autre … En amont, qui vise la personne et l’appartenance identitaire, il me fait marrer par toutes ces implications, une ‘enfilade de contradictions.

 

Cet ‘extérieur’ qui relève le ‘défaut’, cette ‘absence’ c’est le noir au sein du blanc. C’est la ‘différence’. Non celle ‘existentielle’ mais celle que l’on convoque.  Le noir perd t-il ses qualités en présence du blanc ? Oui … a ce niveau là on a compris qui perd et le blanc et le noir … Mais qu’est ce qui reste alors ?

 Ouh La la ! Et si c’est une femme  ? … On lui conseillera de ne pas jouer au loto ce jour là.

 

« Elle n’est pas féminine » : Elle n’arbore pas les caractéristiques d’ici. Oui mais de là ?

Ben sans vous vexer … de là non plus …

Oui mais et de là … bas ?

Merde !

Mais j’arbore quand même mes caractéristiques !

Hein ?

Ne puis-je ajouter aux caractéristiques ?

Vous allez la fermer vot’ gueule !

 

Le noir est-il Différend du blanc ?  Non pas la différence, mais la ‘différence’ que l’autre convoque. Je vous laisse trouver le terme exact. C’est la même nature. C’est un archaïsme purement formel qui devient intéressant lorsqu’il se teinte d’idéologie. (Déf du racisme). C’est à ce moment précis que l’on extrait, détache, créer ? la notion de féminité de la femme. Révélation ! La féminité mes cocottes, mes chéries ? N’est JAMAIS quelque chose de positif, même utilisé de façon ‘positive’, c’est quelque chose déjà armé pour vous torpiller … Hum, ma chérie tu es ‘féminine’ ! Niveau sac à main (Quelle magnifique concept !)  Le mec lui aura la rigueur d’un costard qui lui donnera une toute autre prestance, celle d’être ‘bien habillé’. Un cran supplémentaire dans la dignité, quand l’autre miséreuse putassera dans la traînée d’un compliment destiné à renfler son égo, la pêche au gros ! 

Je déteste et les putes et leurs macs ! Surtout quand le mac usurpe le nom de ce qu’il ne connaît pas. C’est la pute qui fait le mac ou le mac qui fait la pute ? C’est le sac à main qui fait la remeu ou la remeu qui fait le sac à main ? Affectation.  Sincèrement.

 

De même que le noir en présence du blanc devient un ‘nègre’, la notion de ‘nègre’ se détache de celle du noir en présence de la white aryenne kkkaractéristique. (Construction extérieure qui parasite la personne en créant un avatar pourri qui cohabite, se confond, puis se substitut … D’ou le W de Césaire pour récupérer le concept afin de se le réapproprier … mais ce n’est pas le propos…) 

C’est alors une notion purement abstraite d’essence archaïque qui n’appartient plus à la femme mais à autre chose.  Une ‘norme’ qui n’appartient même pas à la personne concernée. (Si c’était le cas mes chéries l’intelligence et les clés à molette serviraient tout autant à définir la féminité) 

 

Cette  féminité ‘archaïque’ est la féminité des débuts, celle assujettie au regard de l’autre. Ce qui est intéressant c’est la communication qu’elle va permettre avec l’idéologie.  A chaque fois que l’on ‘convoque’ cette ‘différence’ : « Elle n’est pas féminine » en plus de l’aberration identitaire soulevée, on torpille la condition féminine d’ici et de là-bas  (C’est ce qui me fais le plus chier …La perspective ! )  En permettant la libre communication avec des forces autrement dangereuses qui n’attendent que de s’engouffrer dans le passage, ce ‘concept’ ouvert qui autorise l’autre à s’y installer.  (Et je ne parle pas des merdeuses qui revendiquent la liberté de la tutelle consentie parce que trop connes pour voir plus loin que le bout de leur étoffe, niqab ou tailleur Channel, c’est la même balance )  Mesdames faites le calcul ici.  Vous reprendrez bien un peu de pornographie ?

(Oui bémol ici mes choutes … On peut affirmer son identité par une pornographie débridée … Mais vous livrez le mode d’emploi avec j’espère … « Mes enfants ! (Oh non … Pfff …. ) Je me livre ici à un exercice de pornographie mais j’assortis cela d’une revendication identitaire destinée à montrer un libre arbitre qui ne saurait présumer de rien d’autre que sa pleine affirmation !  

Hein ? ? ! 

Pfff …  Ouais mais si y faut lire Kant avant de se taper un porno … Déjà qu’on sait pas écrire …

 

Alors qu’est ce qu’une femme sans féminité ?  Je t’interroge ô Ecrivaine au regard ample !  Quelle est cette frontière entre la femme et la féminité ? De quoi est faite l’inclusion bizarre ?  Encore une fois et hélas, rien d’intellectuel qui ne mobilise l’intelligence ! Ni le diplôme ni le doctorat ! Trop conne ! Mais ?  Le rimmel ?  Avant non après oui … Op !

Et réciproquement qu’est ce qu’une femme ‘féminine’ ? Qu’ajoute la féminité à la femme ?

Le constat de l’absence de féminité  (faites de choses essentielles tel le rimmel, le rouge à lèvre et le vernis à ongle, car l’on est pas encore au jour ou une femme se définira par son intelligence ) laisse bien la ‘fme’ amputée de quelque chose … Mais de quoi ! ! Qui a dit du e du m ?  C’est schématique certes mais valable … Donc … Qu’est ce qu’une ‘fme’ ? 

Mais bon sang mais c’est bien sûr comme dirait le commissaire Bourrel ! ! Euréka j’ai trouvé ! ! Voilà ce que cette notion de féminité rajoute à la femme ! C’est ce ‘fme’ !

Tout ceux qui ont suivis cet exercice de pure formalisation peuvent l’apprécier pleinement avec moi.  Le constat de  féminité (Et non la féminité qui n’existe pas) ne peut évidemment rien apporter à la femme, pas plus qu’a contrario il ne peut ôter (Quoique la salope ras la touffe puisse porter atteinte à une certaine dignité de la femme …Je le conçois mais ne partage pas cet avis) 

Par contre le constat de l’absence de féminité  n’ôte toujours rien (évidemment …) Mais apporte bien ce ‘fme’ … Mon concept ! Un précipité très intéressant à analyser (Pour ceux qui sont largués c’est le truc qui rempli le ‘Vide’) Cette abstraction  parasite qui cohabite avec la femme et qui lui porte  préjudice, parce qu’elle se confond et se substitut à l’identité de la femme.

Cette notion toujours prompt à se ‘nourrir’ au détour d’un « Ben t’es pas féminine toi ! »   Parce si Césaire et les Black panthers ont freiner la ‘négritude’ … La féminité elle, reste ouverte aux quatre vents.

 

 Comme quoi même en chambrant sur la dégaine on peut vite glisser du côté de la discrimination identitaire.  N’est pas écrivain qui veut. Comment décrire sans dépouiller la personne de sa dignité ? En prenant des cours d’écriture (Lire Nietzsche, Tournier, Guerne,  Montaigne, Sarraute, Proust, Hölderlin, Deller, Rilke, Zweig, Woolf (Une chambre à soi, condition nécessaire pour écrire d’après Woolf, afin de définir les limites de l’autonomie identitaire), Calvino … Liste non exhaust.

Voilà la signification de ce ‘supposé’ Vide, en fait c’est bien un ajout … Un ajout qui vient ‘encombrer’ la femme, en terme de norme ou de diktat extérieur. Une ‘abstraction’ archaïque au contenu qui va du plus au moins destructeur. 

 Conclusion : La féminité n’existe belle et bien pas !  Il y a la femme et ce …’fme’ Très pervers en vérité (Quand on pense que c’est la dessus que la femme essaie de se construire une identité autonome ! ! )  Parce que cette ‘troncature’, pardon, la notion de ‘Féminité’ fait exister la femme très loin d’elle … Jusqu’au Bahreïn et dans les  dictatures théocratiques, qui ont le mérite de mettre en lumière cette distance entre la femme, le concept de féminité et le fait qui lui est totalement étranger. 

Je me demande si une fois que l’on a stigmatisé le négatif,  : « Elle était noire » Entendez  « Elle n’était pas blanche » Juive, enfin pas catholique quoi … Elle n’était pas française …Je me demande si il n’y a pas cette ‘petite’ touche supplémentaire’, faite simplement de la haine de l’autre et de tout ce qui peut l’excuser,  ce petit fond d’ irrédentisme ‘territorial’   primitif, sinon à quoi bon ? 

 

C’est pour cela que j’accepte : Sapée comme une cloche, mais pas « Elle n’était pas féminine » Irrecevable ! Le point duquel on peut arrimer l’ensemble. Présomptions passés et futures … J’accepte le descriptif qui n’atteint pas à la personne, car ma chérie je n’ai pas à être ‘féminine’ Moi. En tout cas pas plus que je ne le suis.

 Elle ne portait pas de bijoux (féminins précisons …). Elle ne se maquillait pas … Et encore … A bien y réfléchir cette liste nous fait dangereusement pencher vers une sémantique stigmatisante, sinon pourquoi devoir le préciser ? ! Quel intérêt ? En la forme, pas littéraire hein …  Et si c’était pour y arrimer une présomption de culpabilité à venir … Une ‘liste’ de ‘kkkaractéristiques ! L’évidence d’une charge aggravante au dossier … On attend on attend … Pire que la classification du pénaliste Lumbroso au 19 s …   J’espère que cette ‘inclusion’ ne ratonne  pas jusque là !

 

Allez ! Les comptes sont soldés ! Ton esprit devance ta bouche, tu accèdes à ton personnage  une fois qu’il est sur scène. C’est la définition de l’inspiration ! Mais fais attention aux mots que tu emploies, pas qu’ils partent nourrir un truc qui  reviendra en pleine poire de certain(e)s.

Tout le monde n’a pas la chance de posséder une ‘Chambre à soi’.

A moi aussi il faut une scène car l’on y embrasse plus large. Seul endroit possible pour convoquer les éléments nécessaire à la démonstration. A quoi ça sert ?  A créer en certains points un certain étayage qui servira à un certain niveau.

 

 

Pouvoir librement disposer de son élan vital … On sait bien que l’homme appelle ‘intelligent’ ce qu’il comprend. H-e-i-n- ? (Il est très rare qu’il comprenne ce qui est intelligent)  

Ontologie ? Inutile de draguer jusqu’à ces confins … existentiel, cela suffit … Avec de bonnes lunettes ça devrait aller …

C’est pour ça que ! Si « Sapé comme une cloche » reste poliment sur le ‘seuil’ d’un égalitaire neutre, ce « Pas féminine » est très grave … Car il veut bien être explicite, il dénote une profonde bêtise ainsi qu’une absence d’ouverture à son niveau d’analyse le plus basique, ou bien il revendique clairement sa filiation, c’est à dire, sa volonté de … Détruire. (Eh vouis …) Mais détruire comment ? Comme il est de coutume chez l’homme, de façon … Pratique, en posant par avance une négation sur l’existence de l’autre. Très utile pour … Eradiquer, extraire … Dévitaliser !  (couper d’avec)  On touche au sacré ! Sous-hommes, sous-femme (C’est à dire pour l’instant … Femme !)  Soucoupes … (Désolé c’est plus fort que moi…)

Animal ! En dépossédant de son élan vital, option de vie propre à chacun, par l’octroi de la comparaison. 

Ce « Pas féminin » s’inscrit dans ce processus d’annihilation de l’autre. A l’échelle de la supérette certes, mais quand même …

Ben mince alors …

Pas même par la toise de karactéristiques qu’il ‘commande’ (Absurdes et non viables en elles mêmes)  Car une caractéristique ne saurait limiter, supposer ou en obvier une autre … Ce n’est pas le ‘plan’ de la vie, mais bien en amont parce qu’il pose un ‘pré-défini’ qui atteint  l’essence de la vie même, dans sa possession et jouissance simple, c’est la permission de dérober de la pire des façons, c’est la dénaturation.  

C’est le ‘symptôme’(Lecture) révélé à son point paroxystique … Si les grosses loupes ne suffisent pas … Descendre ‘un peu’ la pente pour voir les différentes déclivités … Les mécanismes d’exclusion classiques, le racisme, toutes ces ‘préemptions’ au nom de la Supériorité.  L’anthropocentrisme, morphisme … Empiètement sur autrui.

C’est le ‘niveau de lecture’ ou cela agit, se nourrit se … renouvelle, via le relais de satellites ‘anodins’ et bon marchés.    

Cette instance à exister selon un ‘antécédent’, Couleur, castes, rondelles (J’sais pas ça m’est vnu comme ça …)  Intelligence, aptitude ? Faut voir … Agit bien comme une ‘forclusion’ implicite posée par avance  sur ce qui est à naître.

Voilà la nature (à ce niveau) de cet ‘antécédent’ archaïque, qui condamne à l’avance ce qui fait la vie. La diversité ma chérie !

 

Bonne chance pour tes propres engagements.  Ils restent ‘valables’ mais discutables. Bien que je crains que la forme ne soit viciée par le fond. Je suis désolée choupette mais la plupart du temps les ‘stalkers’ sont ou des ‘’huissiers’’ qui poursuivent leurs créanciers … (déguisés en lapin avec une pancarte autour du coup : Mauvais payeur !) Tu vois à quoi t’as échappée … Ou des ‘jaloux’ compulsifs, voire des folles qui s’imaginent maquées avec l’objet du désir …  (C’est à dire environ 2% de l’ensemble … ) Pas de quoi emporter une qualification juridique spéciale, qui existe déjà pour les domaines concernés et surtout (La part de l’autre !) Qui n’existe pas (très important) pour les domaines concernés !

 

 

Dans le processus d’écriture, l’intellect est secondaire parce qu’en premier on écoute pour trouver la mesure, (Processus en tant que déroulement). On ne peut se livrer à cet exercice d’écriture (Procédé hautement kabbalistique ) sans un détachement premier d’avec soi (La part de l’autre). Cette part dont vous faites de moins en moins cas aujourd’hui et ce, quelque soit la ‘forme’ de cet ‘autre’, l’animal, l’arbre, la terre, l’humain … Dieu.  Dommage c’est ce qui indique le positionnement.

 L’intellect n’est qu’un déploiement second destiné à accompagner à orienter. C’est la part de l’autre  qui donne l’amplitude (Le véritable langage) la première mesure qui rattache à l’ensemble. C’est l’architecture ‘porteuse’ au sein de laquelle tu peux t’insérer intellectuellement. Cette ‘architecture’ est faite de musique et d’espace (En termes de traductions) N’oublie pas que la couleur est une onde … Violet, mauve … Vibrations … Tout se répond.  En Poésie on a pas besoin d’instrument pour mesurer une couleur. Une couleur possède sa propre sonorité, un ‘contexte’ et un espace aussi. Un mot porte en lui toute la structure grammaticale auquel il appartient et inversement … Toujours, la part de l’autre. L’intellect  est secondaire et il accompagne l’édifice, en cela tu ne fais qu’orienter une part infime et ce plus ou moins habilement, à peine une direction de chœurs … si tu as la chance d’arriver à saisir quelque chose.

L’intellect ensuite est une évidence, il a pour seul mérite d’accompagner ce qui est, de le traduire, c’est à dire de le restituer dans sa tonalité. C’est ici que le ‘beau’, l’harmonie ou l’esthétisme (Poème, écrit, tableaux, sculpture etc …) est assimilé au vrai. Parce ce qu’il accompagne ce qui est.

 

 

Sinon tu peux toujours faire du Piss’Christ, c’est à dire de la merde empaillée, déconnectée du vital, c’est ce qui se maque le mieux avec la zombification de masse. Le ‘tout relatif’ et le tout à l’égo.

Ah LaLa … Ma pauv’ dame … Qui se soucie encore de la trajectoire d’une feuille d’arbre qui tombe à part Castanéda et … .

 

 

 . 

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17 avril 2012 2 17 /04 /avril /2012 10:38

 Et mon diadème tu le veux dans ta figure?  Je veux bien assumer, les pétasses, conasses, malade mentales, toute la ramasse d’une société de tarés,  mais PAS féminine ? ! ! Moi ! ! Ah ouais ? ? !

 

 

Travaille la Profondeur ! C’est à dire l’aptitude à être au cœur des choses, comme planté sur sa tige, oscillant au sens plein de l’instant.

En fait … La terre. C’est de cela dont vous manquez de plus en plus.  ‘Bétonique’, Pas mal …

Les tapis de coquelicots qui bornent les routes ? ? i beg your pardon ? Can you repeat please ?

 

Corrompre ? Non .. Je ne corrompt pas. Je laisse faire. Et j’écrirais … Nous nous sommes rencontré. 

Fatale ? Pffff … Boaf … Chacun la mesure de  ses expériences hein …

Bon,  t’affole y’a personne qui lis ça, et le peu qui lit s’en fout ou piges que pouet, comme toi … En attendant la grande expérience … Crever. 

- Et vous ! Bosquets, fontaines collines et pâturages ! N’ébruitez  pas la nouvelle de notre rencontre … Non je déconne … Lulu ? … C’est Toi ?  … Qui lit ça ? Quelqu’un …

Quelqu’un ? 

Quelqu’un.

Donc les Coquelicots oui … On connaît merci … Là Laurence tu n’y es pas … Profondeur … Tu peux être d’avantage dans ton écriture …

Moi aussi j’t’emmerde. Mais ça tu le sais déjà.

Quant aux brumes du petit matin et leur découverte … Tu te fous de la gueule de qui là ! ! ! ! ! Non mais sérieusement ! ! ! Qu’est ce que tu veux faire ! ! ! !  t’écris pour qui ? ?  C’est ça que tu veux ? Bon ben super alors ! ! T’es arrivée ! Terminus tout le monde descend ! ! !

Editeur : Chez Lulu. Vous rajouterez un jambon  beurre et une krau merci.

OK c’est un début.  OK Mérite.

Depuis Dickens mon enfant, on ne reconnaît  plus qu’un seul qualificatif à même de définir les brumes c’est : Vespérales … Oui je te l’accorde cela demande une culture, une maîtrise, un contexte, une insertion au sein des choses … Encore une fois Qu’est ce que l’écriture ?  Qu’est ce que tu veux enrichir ?  De la daube ? 

Dickens avait pour lui une époque qui servait d’avantage la nature des choses certes, mais il savait habiter chacune de ses notes … Et toi ?  

Passe par la musique des mots si tu ne sais pas ce qu’est une âme.  Cherche leur traduction, reproduis-la dans un/ton contexte, transforme, adapte, précise à l’époque …  Parce que la brume qui s’étale en nappe voire en volutes … C’est pas ici qu’on expédie. 

Quant à la gamine qui baguenaude au milieu de sa prairie Aixoise … On l’a connaît la vie de Laura Ingalls … On a vu l’adapt à la télé … Tu te fous du monde … Et l’écriture c’est pas ça. Y’a rien de toi là dedans.  C’est de la désinvolture. La même tournure Laurence que tu as écris dans une lettre qui ne m’étais pas adressée (compliqué ?) Rappelle toi de cette ‘tournure’ qui m’a frappé … Tu te rappelles ou merde ?  … Tu as écris entre autre … cette formule : (Là c’est cadeau ma fille un peu comme si Armel Guerne, que tu ne connais pas évidemment … t’écrivait … )  Tu as écris « Emue je le suis » … Voilà le point exact du foutage de gueule et du laisser aller condescendant que l’on perçoit chez toi.  « Emue je le suis » .  La hauteur que tu places par rapport aux autres. Ce petit ‘laisser-aller’ condescendant.  Cet ‘expédit’.  Qui peut déceler ça ? Les personnes comme moi.  On ‘traque’ les virgules pour s’assurer d’un sens.  Tu es où la dedans ?

 

Toi t’es dans : « La rentrée c’est comme un soulagement d’exister »  Voilà une signature.  Là cocotte, il y a une Perfection ‘étrangère’ peut être même dans la mesure où elle t’échappe. 

1/ ça ( Je sais que tu ne comprends pas)  c’est l’élément étranger et c’est pour cela que c’est Parfait et que cela peut se nommer Ecriture.  Mais si tu n’avais pas été là pour le saisir, cela serait resté ainsi, sans toi.  (Part des choses). Mais cela aurait néanmoins existé.  Qui a capté cela ? « La rentrée c’est comme un soulagement d’exister » 

Ça c’est de l’écriture. Ça n’est que la petite ‘adjonction’ de toi par rapport à.   Il y a un livre à faire ici c’est très beau.  L’écriture est là.  Reviens sur ton insertion au sein des choses à cet instant, duplique-le et transferts-le dans un autre contexte ( compliqué ? Oh … tu crois que l’écriture c’est la révérence de la galette ? )

2/ Bon … « C’est la puissance du lien qui prédomine sur » … L’essoufflement …

 

« La rentrée c’est comme un soulagement d’exister »  l’accroche est ici. Toute la matière est là.   Sert-en pour la suite.  Tu as un exemple de ce qu’est l’Ecriture . 

 

 

 

Au fait pauv’ tache, un truc …. Accepte l’élément ‘étranger’ dans ton écriture … C’est novateur non ? (Pour toi) DANS ton écriture (je précise … Pas dans ta vie … tu peux continuer à claquemurer … ) Bcp de tâcherons pensent que leur écriture leur appartient, mais c’est faux.   L’écriture appartient à ce qu’elle sait reconnaître, à ses points d’amarres et d’ancrages souterrains.  C’est l’inverse de l’accaparement mon enfant.  L’écriture procède déjà de cela (Nomme le comme tu veux  ou ignore le). Certains le savent, beaucoup n’y ont pas accès.  C’est quoi la part de cela mon poussin ?  C’est la part de l’autre.  C’est ? 

 La différence encore une fois se nomme Ecriture.  Sinon … Quoi ?  Je m’appelle Loana me suis déjà suicidé 5 fois. J’aimerai maigrir me trouve trop grosse.

 Je sais ma chérie on est pas compatible, toi tu va voter Mélanchon (Pas Poutou quand même hein ? Si ? ? Oh merde … La vautre de l’international  Prolo : Garçon ! Chippo purée pour tout le monde c’est ma tournée ! !) Beurk !  Joli visées ! Où alors surfe la vague du moment, écris un book de cuisine, les crêpes en dix leçons. Pas de fautes possibles mis à part bouffer bof.

Mais POURQUOI devrait-il y avoir un barème de fautes possibles en matière d’écriture ! C’est quoi cet étalonnage  ?  Un humain est mieux qu’un animal, oui mon enfant, POURQUOI ?  Au nom de quoi ? Pourquoi … Toi ?   Dans ma petite très petite périphérie … Inexistante …  C’est tout le sujet ! Tu brilles par rapport à moi ?  Mais tu n’as pas besoin de cela … Tu peux briller par rapport à toi.  Ecoute.  ………….. Maman. Jolie Maman. Les gosses ? Oh putain ! Un bail emphytéotique !  Passons.    

 Moi je brille par rapport à la Jonquille … Un jour j’ai vu son éclat.  Alors je me suis incliné.  Peut-on écrire n’importe quoi ? N’importe comment ?  Envers QUOI peut-on dire qu’il y a faute ? … Délicat et épineux.  (euh … Pour les ras du bonnet je parle pas de la faute ‘morale’ j’en ai rien à foutre, le qui a tort qui a raison c’est pas ici, là je parle du sujet … Mais quel est le sujet ? L’Ecriture ! Oui, non ? ) Sinon quoi ? Le collectif  des chochottes traumatisées par la machette d’une tsutis maladroite qui n’a réussi qu’à amputer là où y’avait rien … Maladroite ?  Y’a pas écrit Afrique ici ! 

 Revenons à l’élément étranger, l’incident scénique, bref l’aléa. Concrètement … Qu’est ce que l’élément étranger …  La feuille d’érable (Platane) qui vient terminer sa course (Maléfique) sur ton pare brise t’obligeant  à actionner tes essuies glaces … Notre vie n’est faite que de cela, d’aléas (définitions ? Chemins … ) d’éléments étrangers et indésirables qui vous font dévier de votre route ( Plus ou moins ‘indésirables’ certes …incarnés, repérables … En tant que tels. ) Non pas de Maléfices ! Justes des trajectoires de feuilles de platanes  qui s’accrochent à votre pare brise…   Le hasard encore une fois Laurence est le tricot maladroit auquel Dieu s’évertue, une maille à l’envers … Voilà pourquoi certains commandent  des chaussettes à Noël  et se retrouvent avec une écharpe … Et Dieu merci …  Car avant ils ignoraient que les écharpes existaient …

 

Dis donc …  35 ans à l’époque ? Et ma main dans ta figure ça te dis ? ?  C’est pas parce qu’on arrive pas à digérer le virage de la cinquantaine qui clignote à l’horizon comme une balise de ‘danger Travaux’ qu’y faut accabler les autres hein !

 

Et sexiste avec ça !  Parce qu’une femme doit être ‘féminine’ ?  Allez encore un sujet d’engueulade ! Et une femme est elle une femme accomplie si qu’elle a pas d’enfants ? Le chiard est-il compris dans le package  de la ‘’’féminité’’’ au même titre que le vernis à ongle et les extensions capillaires ? (Attention à la réponse y’a un piège)  La maternité n’est elle pas le but ultime de la pondeuse labellisée ? Allez,  voyons voir dans quelle mesure la femme échappe à … Elle même.

 

Observe le cheminement et la permission …

 

1 / La féminité (substrat fantasmo-idéologique se détache de la biologie, n’étant plus à même de suffire à la définition … c’est l’apparat qui l’emporte) Ainsi la féminité devient (déplacement) un ensemble de choses que la femme se doit d’arborer. 

      Si ce n’est pas le cas, on dira « Elle n’est pas féminine » On observe bien là que ce ‘concept’, très chère,  de ‘Féminité’ n’appartient déjà plus à la femme, puisqu’il est le fait d’un EXTERIEUR qui se confond avec l’identité de la femme,  qui se confond et disons-le carrément s’y substitut au principal.   (C’est la marche actuelle des femmes qui s’occidentalisent avec en aboutissement évidemment ce phén. D’Hyper Sexualisation … consqce logique …Et sa bascule inverse qui nourrit tout un courant de petits pervers accros à la Burka)

     C’est très intéressant qu’une femme relaye ce genre de ‘discours’.  Car elle consent alors à accepter que ce qui est à même de la définir en propre et à l’essentiel ?  Son Identité ? Ne lui appartient pas. Cela prouve que la ‘femme’ ne se suffit pas en tant que tel.  Elle doit être ‘féminine’ Très intéressant.  Lourd de conséquences et d’implications diverses … Quel est ce ‘kit’ de ‘féminité’ que la femme doit posséder pour exister et surtout (Le plus intéressant)   QUI est à même de le définir. Quelle est la nature de cet ‘extérieur’ qui se substitut à l’identité de la femme, cette ‘Féminité’, endroit où elle est censé exister essentiellement. C’est la question de la PROPRIETE.  (Attention terrain glissant)

 

2/ L’élément extérieur : Ah ! Cet élément ‘étranger’ toujours et encore … Mais peut être plus repérable  …  Comment peut on l’analyser ici ? Je nommerai l’intrusion et la violation de vie privée. Hum … On s’y achemine … L’intrusion mais pas l’aléa attention ! L’élément étranger certes, mais calculé. Consentie, relayé, accepté.  Autorisé ?

Eliminons tout ce dont on se fout … Le ‘kit’ féminité, on se balance du contenu … Les marques et repères pourraient tout aussi bien être le port de sacs poubelle ou de serpillières … (Et vu certains défilés de mode … On en est pas loin …) Non ce qui importe c’est l’adresse de cette ‘féminité’, une ‘adresse’  extérieure à la femme c’est ça ?  Tellement convenue que même une femme en relaie l’évidence ?

 

3/ Le déplacement et la propriété : (L’usus et l’abusus … Qui emporte la pleine propriété !)  Tout le kit ‘féminité’ !

Les enfants aussi ?  ………………………………………. Ouh la température est en chute libre.

 … Va falloir faire un calcul savant là … Des quarts et des tiers ? 

Ah j’vous connais … On va se retrouver avec des huitièmes …

Glagla !

La logique froide ça tue hein ?

Et cependant … Revenons à l’éclairage du  quotidien …. Le corps de la femme ? La propriété de la matrice, (ben oui … On mesure pas les conséquences de petites phrases que l’on relayent sans réfléchir …)

Tu valides ?  

Pour ou contre l’I.V.G ? Oui, Non Je vote blanc.

La femme ne s’appartient pas elle appartient à cet extérieur qui s’accorde à dire en lieu et place de son identité.

Tu valides ?

Quelle intrusion non ? 

- Mais qu’est ce qu’elle se permet celle-la ?

 C’est pas rigolo, car ce genre de raisonnement que vous  produisez finit par enrichir de l’extrémisme et de la saloperie. C’est le lit des bourrages de cranes et du conditionnement de petits cerveaux de tarés (Mehra and co’). 

 

  Alors ses enfants ne lui appartiennent pas finalement autant qu’elle le croit … Ils appartiennent à ? Cette caractéristique extérieure, la société ? (Déjà labellisés avant que de naître vive la traçabilité !)  Quelle est cette entité qui a le transfert de la  propriété  ?  (Celui qui a dit les petits frères de St Nicolas du Chardonnay, Au piquet !) 

C’est drôle ? Oui Non je vote blanc …  Attention, décrochage: Une femme doit être féminine sinon ? Qu’est ce qu’elle est ?  Quelles sont les caractéristiques qu’une femme doit posséder pour être une femme, c’est à dire (traduction) pour être Féminine (Non pour exister mais pour correspondre à …)  Ici Glissement avant le décrochage , observe … Non pour exister mais pour correspondre à ( à quoi ? : à l’idée de ce qu’une femme doit être), nous l’appréhenderons par la négative ‘Elle n’est pas féminine’. Le manque mais par rapport à quoi ? Bref le défaut.   Le fondamental est là, une femme ne peut exister en tant que tel.  Cette idée nous la nommons ‘féminité’.  Cette idée est ‘extérieure’ à la femme en tant que personne, puisque c’est un ‘extérieur’ (Toi par exemple …) qui relève, juge, estime ce ‘défaut’.  Tu valides la transmission  de propriété ?

Bien. Quelle est la nature réelle de ce que tu ‘plaques’ sur la femme ?  Si tu étais un homme nous pourrions dire : Fantasmes mais tu es une femme … Tu signes donc (Avec Moi !)  pour dire qu’une femme ne suffit pas pour exister  elle doit être en  plus ‘Féminine’ … C’est à dire ?

 C’est à dire ?  Posséder indéniablement des caractéristiques extérieures à elle même propres à la définir au … principal et de l’adouber dans son ‘identité’ de ‘femme’ .  Ouh .. Mais c’est grave ça, parce que ces caractéristiques sont le fait d’un EXTERIEUR  (L’homme et ses fantasmes, la femme qui ferait mieux de réfléchir avant de se saborder)  

Quelle est la nature de cet ‘extérieur’ ?  réponse : On s’en fout ! Ce qui compte c’est qu’une ‘entité’ constituée (Macho, franchouillard, mollah, Salafiste… pervers !) dérobe à la femme sa part la plus importante (Au fond et selon ton discours)  Il semble que c’est toute son identité qui lui échappe, sa féminité procédant  (encore une fois et même ici …) d’un élément étranger. 

Décrochage : Tout ce qui fait l’essence d’une femme dans ton système de pensée (Si on peut appeler ça comme ça … )  ne lui appartient pas !   C’est Marrant ce renversement ! On était parti avec l’essence de la féminité et on s’aperçoit au final que c’est tout le contraire ! En fait une femme ne serait  Femme que par son absence totale de ‘féminité’ ? (Ouh la La …) ((Sauf à se ‘réapproprier’ ce ‘segment’ Identitaire … Vacant … Il y a certes encore deux trois trucs à préciser, mais mon but n’est pas de pondre un manuel d’émancipation féminine))

 

Nommer cet ‘extérieur’ n’a aucune importance, ce qui compte c’est que vous vous accordez pour l’accepter .  C’est magnifique quant on pousse votre logique au bout, car cet ‘extérieur’, que vous vous accordez à substituer à votre identité, a propriété sur cette part là même de votre identité. 

C’est à dire que c’est l’autre qui a propriété sur vous.  Tu commences à y voir quelque chose ? (C’est la grande théorie de la relativité ! … Eh Lulu ! Tu m’remets une Kraü)

L’intime et la propriété, que tu revendiques, dépendent peut être d’une parole, d’un regard. Mais surtout d’une grande tenue dans ses propos.

Ceci était une démonstration.

 

Donc Egalité de l’équation : Femmes ! Virez vos gloss et vos rouges à lèvres, bannissez les minis jupes !  Reprenez contact avec la terre !  Réappropriez vous votre Identité et sa pleine propriété !

Affirmez votre Féminité d’une façon novatrice et identitaire !

Portez haut et fière  la bannière de votre identité à la force de  votre tenue vestimentaire ! Faites comme Moi ! Adoptez le look de Columbo, négligé et cracra .  Et vous verrez peu à peu … Le sexisme, la parité, les apostrophes convenues de mal baisés (Quant on refuse …) de Salopes (Quant on propose …) s’estomper dans un lointain Egalitaire ! 

Stop les cigarettes maniérées qui font le jeu de votre aliénation ! Arborez les cigares modules 5 qui empestent d’Alfred Hitchcock,  des fringues crasseux et approximatifs, surtout pas de parfum !  Et vous verrez ! mêmes les plus tenaces des salafistes finiront par vous lâcher la grappe !

Une Burka ? Pour quoi faire ? Plus besoin ! Car vous aurez cessé d’alimenter cette construction fantasmatique qu’est la ‘Féminité’. 

 

Le sort de la planète, de l’environnement, les dérives pornographiques etc … Les excisées, l’Afrique, le Maghreb, la fin du capitalisme effréné, de la consommation ahurissante, (Liste non exhaustive) Dépend de vous !  D’un simple petit effort vestimentaire !

Quand même ! ça donne à réfléchir…

 

Si vous voulez rejoindre le collectif des clochardes identitaires voire faire un don en argent ou en nature (Vieilles nippes usagées) vous êtes les bienvenues ! La ménagère en jogging est tolérée même si une branche de notre mouvement (extrémiste) refuse de voir dans sa tenue une vraie implication contestataire mais d’avantage un laisser-aller pas du tout calculé et dans ce cas effectivement … ça craint.

Et pensez à la manif contre l’hyper sexualisation des petites filles !

 

(Je comprends pourquoi y’en a qui sont misogynes …)

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6 juin 2011 1 06 /06 /juin /2011 09:35

 

-         Faut- il y voir enfin, la volonté assumée de sa propre reconnaissance ?  La politesse faites   à un talent qui aura beaucoup trop attendu ?  Même si l’auteure nous livre une œuvre encore trop peu ‘détachée’ de l’étude rigoriste  :  de la ‘pathologie vue à la lumière de la pathologie’, un peu  trop empreint d’un certain ‘parti pris’, celui de la vision psychiatrique de l’humain, trop prégnante, pour libérer réellement une première écriture, il faut attendre … Car l’écriture est bien là, il ne lui manque à trouver que sa réelle ampleur.

     Quant à la dimension juridique que soulève l’auteure à propos du ‘Stalking’. Dieu merci,    nous ne sommes pas aux U.S.A ! L’être humain possède encore ici, dans notre droit une ‘existence’ qui appelle  une ‘traduction’ autre que la répression ou la détention … Le stalking, ‘ invasion barbare’, s’arrête en fait comme en droit aux portes de nos libertés fondamentales et individuelles, il doit demeurer si tant est qu’il puisse être ‘qualifié’  … Dans sa sphère, celle de la ‘vie’, cette marge de liberté autorisée qui est inaliénable par aucuns domaines,  celle relevant de l’humain qui ne peut se résoudre que grâce à de …. L’humain.    

 

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6 juin 2011 1 06 /06 /juin /2011 09:33

Eh ben ça ! c’est la meilleure ! ! On aura tout vu !  Que dire ? ? ? ……….. OUAHHhhhh ! ! ! Enfin ! ! ! Ohh j’entends déjà les cloches de la renommée tinter au loin … Bling-Bling ! On va être riche ! ! (Enfin surtout moi …Parce qu’entre les droits d’auteurs, le procès en diffamation et en infamie,  l’art 1382 …  Puis les interviews, les opérations de com’, la récupération marketing,  et   « -- Ma vérité --» … , non ça fait gnan-gnan …    « -- Un cri dans la nuit -- » ?  Oui … Mais on va pas pigé l’allusion à la nuit et puis ça fait aveugle … Merde … « -- La vérité est un cri !-- »   Ah non ! On dirait l’annonce d’ une autobio débile …                   

 

               Ah !   Je le tiens    «        -- De l’autre côté de la vérité --        »    Une œuvre inspirée, puissamment psychologique, démontant toute les arcanes des passions humaines, un reflet inattendu qui saisi au point d’une vie et à la poigne d’un cri (Ah ! J’ai casé le mot cri ! Allusion subtile à la vérité …) Un au-delà évocateur au delà de … L’au delà ( Si si .. ça passera,  les gens sont tellement habitués à lire des conneries …) Une embardée sans possibilités de retour  qui emmènera le lecteur aux confins  de quelque chose qu’il ne saura nommer … Puis, le mystère,  levant son voile peu à peu, ramènera alors le passager audacieux à une réalité insoupçonnable.

 - Pourquoi ce jour là a t-elle acheter ce billet de train ?  Pourquoi cette destination ? …  Euh … Merde je suis en train de me dire que y’a aucun rapport …  Pourtant c’était prometteur … J’aurais cassé la baraque avec ça … !

Bon au sérieux !  Enfin, enfin ! Quelle belle dimension ! Ça  va t’aller comme les guirlandes de fleurs qui ornent les portraits de Dante Gabriel Rossetti, c’est l’éclat porteur.

 

Dis donc au passage , tu peux me dire merci !  Belle entrée en écriture, si cela peut produire de la ‘créativité’ !  Ce n’est pas le support qui compte, c’est sa traduction … (Ouais je sais t’en as pas conscience … )  Comme le dit Deleuze qui avait fort bien ‘reniflé’ les évolutions de toutes sortes (ce qui pour un esprit ‘éveillé’ n’est pas un exploit …) La littérature était appelée avec le reste à se ‘démocratiser’ … C’est à dire à se ‘niveler’ à la vacuité ambiante, cette ‘petite affaire de famille’ … J’espère que t’as ‘’’un peu’’’ évité cet écueil … S’en  ‘détacher’ se nomme le … Talent, en la matière : L’écriture.

Seul compte la ‘créativité’(Qui n’est qu’une modalité  de mettre des réalités en valeur). La façon dont tu emploieras ce ‘produit’, cette ‘matière’, toutes les ‘résonances’ au-delà et les ‘ramifications’ que tu sauras traduire. Cette ‘texture’ qui n’existe pas dans la ‘réalité’ et qui cependant est réalité, (comme le sont les êtres mathématiques)  Quoi de plus extraordinaire que le concept de ‘débit’ ? Surtout si il est de boisson …

Comme l’est, la Poésie.  Car n’oublie pas !  Le Bon Dieu n’aime pas les Mathématiques.

C’est cela l’écriture, une connexion ‘avec’, c’est pour cela d’ailleurs, que l’on est pas censé y faire n’importe quoi, mais bon … On rame en fonction du niveau …. L’écriture est une matière tangible, concrète comme de la glaise, c’est expérimentiel (ça c’est un néologisme .. Mot à la con pour traduire ce qui est à l’origine des mots, un agglomérat de sonorités qui s’entrechoquent et se ‘trouvent’, ça produit du ‘sens’, convention qui s’autonomise  par un processus que j’ai pas le temps de décrire ) Mais c’est pas ce qui t’intéresses … Moi ce sont les ‘constellations’ et toi … le caddie et la supérette …. Enfin … ça correspond bien avec le consumérisme ambiant … Les fins de droits et la gratte des allocs pour élever des morveux incultes et grossiers, qui transmettront leur inculture et leur grossièreté. Ça c’est l’humanité.  Il y a matière à transmuter ! Pardon, à ‘’écrire’’ Dommage qu’il n’y en ait à lire…  Eh oui pour lire … Il faut certaines ‘qualités’ …

Pour ce qu’il m’a été donné de constater, même lire n’est pas accéder à l’œuvre …

Question métatruc … Es-tu sûre que l’on va lire ce que tu as écris ?  C’est pour cela que j’ai ‘peur’, j’ai peur que ça te corresponde beaucoup trop … Comme dit Lagerfield, la réalité des gens est inintéressante, trop décevante, aucun intérêt à la connaître et c’est … ‘Tout à leur avantage’.  Certains nomment cela ‘idéalisation’ mais ce n’est pas tout à fait ‘ça’, plutôt un … Habillage, une vêture, qui rend ‘acceptable’ la vue de l’autre.

C’est pour ça que tu ne peux comprendre ce que j’écris, ça ne s’adresse pas à toi … Et pourtant ? ( Philosophie) A qui cela s’adresse t-il ?  Faut invoquer ces concepts … Lointaines visées à atteindre, comment les nomment tu déjà ?  Ah oui …. Morale, éthique, respect, Valeurs !  Des visées, des ‘idéalisations’ d’une réalité … ‘insuffisante’.

Bon je crains au jugé, que les limites ne soient atteintes … Je termine (ça, ça veut dire qui reste encore au moins quatre pages …)

Bon … Je table quand même et forcement sur l’idéalisation et les guirlandes de fleurs,  je paris là dessus, je prends le meilleur,  je vois une possibilité de grande réussite.  Trouve toi un photographe qui saura saisir la personne que tu es … Peu importe les lumières, toutes te conviennent.  Mais profite-en pour fixer au moins tout ce qui ‘parle’ … ‘Malgré’  toi … Des vocations et des appels.

 Maintenant que tu as trouvé les barricades de  l’écriture, ça devrait aller… (Essaies quand même  de ne pas finir  dans un vieux moulin pourri au milieu d’une plaine déserte battue par des vents hostiles …)

Non … ce n’est pas de la projection, pauv’ tarte … C’est une ‘lecture’ comme quand une conne me dis « Moi je ne crois pas au hasard »  C’est une lecture … Tu confonds pas avec la Foi non ? … Tu connais la différence entre l’attente et l’espoir ? L’attente c’est le corps et l’espoir c’est l’esprit.

A quand la pièce de théâtre ? ? Moi je vois bien un vaudeville avec les portes qui … Claquent ! Des excités qui cavalent dans tous les sens !

Bon si tu as encore besoin d’un coup de main n’hésite pas !  Je suis toujours dispo,  je peux me déguiser, jouer tous les personnages, inventer des plans fumeux, des scénarios diaboliques ! De quoi pallier l’angoisse de la page ‘blanche’ et peut être as-tu remarqué que je touche aussi à la cascade ! Si c’est la panne d’inspiration … Tu peux compter sur moi !  Mais a mon avis faut pas rêver non plus, on pourra pas dépasser Harry Potter … Sauf a trouver une ‘filoche’ métaphysique comme dans Lost ! Tu vois, genre arrière plan hyper profond.

Bon comme je me méfie de la réalité (La tienne..) Je précise : tout ça c’est des conneries en réponse à … Passons.  On sait jamais vu le niveau …

Je trouve ça juste extraordinaire que tu écrives un livre là-dessus, semblant marquer une ‘entrée’ en écriture depuis longtemps attendue (Le ‘talent’ réside ici, pourvu que le reste soit au diapason) … Ne déçois pas ton double idéal ! Assure le minimum ! Toutes ces possibilités d’analyses concrètes  et d’écritures riche et denses ! même si je redoute le caddie et la supérette … une pauv’ historiette bornée par une subjectivité rigide, bref … ça s’appelle un …Livre, pauvrement  réaliste … Comme un dépôt de plainte chez le commissariat du coin … Ah LaLa … Du réalisme oui … mais pas jusqu’au papier peint avec les grosses marguerites hein ! 

 

Il n’y a pas de créativité sans réel matériau, certaines personnes  peuvent élaborer à partir du vent qui se pose sur un cailloux et ressentir  les innombrables ‘autres’ à soi … D’autres,  ont besoin de  gros foyers, voire de lunettes télescopiques … Mais c’est confondre la distance avec l’objet.  

Sinon ? Quoi dire ? Montrer …Ecrire ? Pour qui ? : - La ruelle était déserte … Et c’est tant mieux parce que y’avait personne -  - Mamannn ! T’as pensé a acheter la lessive ? (Cette phrase ne vaut que par son contexte …) - - Un jour, ce qu’il y a de plus léger est venu à moi (Réservé aux hermétiques)--

 

Bien évidemment le titre est … Nul … c’est Seguéla qui te l’a conseiller ? D’un conventionnel affligeant.  Va falloir tout miser sur la promo ! Pour rattraper un titre pareil, t’as intérêt à  faire l’article de ton bouquin … Parce qu’un titre comme ça ? Ça va pas pécho bézef … Et fais très attention à ton pire ennemi ! Un sens inné du comique qui transpire dans le moindre de tes gestes, veille à bien contenir ta gestuelle et tes mots, surtout les réactions (qui laissent paraître le caractère spontané ) afin de ne pas partir en vrille dans un dérapage incontrôlé qui décrédibiliserait derechef l’ensemble ! Et ça, ça va être dur … Donc du pathos, du vécu mais sombre, de l’appuyé , de l’empesé, bref du lourd, du drama !  Littérairement parlant (L’écriture étant la façon de façonner le littéraire) la ‘confrontation’, peut être très riche, par ses nombreuses analyses. (Entre la réalité et l’idéalisation qui est l’aboutissement de la réalité … Dans les rêves commencent les responsabilités …)  Réalité ou Idéalisation, conscience ou responsabilité.  Bon évidemment … Caddie et supérette … On va bouffer que du ressentie …

Mais on s’en fout. La littérature n’est pas un tribunal, c’est un Art de faire valoir des réalités … La littérature est une vision des choses, l’écriture est une traduction qui ne supporte pas l’approximation, elle met tout en œuvre.  La littérature c’est le caddie et la supérette, l’écriture c’est : « Je te donne un monde neuf et point étrenné à toutes heures, aux heures lucides tu verras qu’il n’y a pas une seule ligne écrite »  Cela même dont tu as dis que ça ne ‘t’intéressait pas’, alors que c’est à l’origine de tout. (Mais là encore …Contradiction !)

 

Menteuse ?

 

Artiste ! 

 

Pellicule et membrane sensible, impression … (On peut ‘tirer’ des clichés, c’est la perception de l’artiste de savoir saisir une globalité mais ensuite il faut savoir les développer, ça c’est … La ‘responsabilité’ de l’artiste …  )  Penses-y.

 

 

Ah, le comique ! Es-tu pour la peine de mort ?  AhAhAh … Putain de race.  Bon en place les petits … Attention … 

 

…. Action !

 

Quand tu menaces qqu’un avec un  pistolet piqué à l’accessoiriste d’un théâtre miteux … Evite les formules du genre :

1/ « J’ai un pistolet ! »   - Car oui, effectivement, on voit que c’est un pistolet et non un moule à tarte.

 2/ « Il est chargé ! »    - Car … Oui … On peut supposer qu’il a vocation à l’être, sinon on voit pas trop l’utilité et dans ce cas … Autant venir avec un moule à tarte.

 

Mention : Vaudevillesque.

 

ET ON LA MET EN VEILLEUSE, parce que c’est toi qui a écrit la première ligne… Moi je n’ai fait qu’apporter quelques … Corrections !

 

Bon fidèle à mon Crédo, je peux m’attribuer le rôle du metteur en scène … Attention ….

 

…..Coupez !

Celle là elle est bonne !

 

 

 

 

 

 

 

 

FIN DEF DES COM.   Je suis plus là en plus je déménage.   Donc … Rien ne transpirera du second opus d’ores et déjà en chantier et encore plus prometteur : «  -- La Détraque ! -- »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

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